Ô amour, damné sois-tu à jamais,
La pestilence de tes simulacres,
Luxuriant feuillage de mes marais,
Ébranle l'espoir que je te consacre.
Voici donc prononcée ma sentence,
Dans l'impassible écrin de ton âme
Ma corde au cou, alors se balance,
Et toi, déjà au loin, jettant la lame...
Si l'enfer...