Le bruit strident des verres cassés sans doute tombés par maladresses au café d’en bas, attira le regard de yamina ver la foule qui marchait, déambulait dans tous les sens, elle qui se levait chaque matin, tandis que tous le monde dormait paisiblement ,et savait ce qu’elle devait faire, tant de choses l’attendait , comme a son habitude, mais il lui fallait bien pour commencer sa journée, sa petite Kahwa , bien pressé a l’arome de fleur d’oranger ,dont elle appréciait le gout, son moment a elle ,son rituel du matin, pour l’aider a bien commencer sa journée. « Les enfants dorment encore !», elle se précipita ver la salle de bain pour prendre le linge et l’essorer, ensuite, il faudra bien l’étaler sur la corde a linge pour qu’ils sèchent, ses mains connaissait bien leurs œuvres.
Du haut de son balcon, elle regardait sa ville, une nostalgie qu’elle retrouvait chaque matin, dont elle appréciait l’éveil, sa ville venait d’éclore, elle en était sa fidele spectatrice, cette fraicheur matinal qui emplissait ses poumons. Son buste en avant et la tète dressait ver le ciel, elle humait doucement, cette magnifique puissance que dégagé la ville, et qui nourrissait son être.
Yamina,cette femme au foyer ,typiquement algérien ,que rien ne distinguait des autres femmes au foyers habituaient a leurs vies ,leurs taches, ce qui leur incombent de faire quant on née femme, grandir dans le silence, savoir s’effaçait quant il faut, se taire aussi , servir un père , un frère, il est dans nos gènes de les servir sans geindre ,toujours dire oui, dans l’amour et l’obligation, entre le respect et la soumission ,une féminité cachait de peur d’être frapper par la honte et le déshonneur, une souffrance a la fois vive et muette qui se lient dans les yeux et les soupires des regards féminins .
Yamina savait tous ca, comme sa mère et sa grande mère avant elle….
A suivre……..
Du haut de son balcon, elle regardait sa ville, une nostalgie qu’elle retrouvait chaque matin, dont elle appréciait l’éveil, sa ville venait d’éclore, elle en était sa fidele spectatrice, cette fraicheur matinal qui emplissait ses poumons. Son buste en avant et la tète dressait ver le ciel, elle humait doucement, cette magnifique puissance que dégagé la ville, et qui nourrissait son être.
Yamina,cette femme au foyer ,typiquement algérien ,que rien ne distinguait des autres femmes au foyers habituaient a leurs vies ,leurs taches, ce qui leur incombent de faire quant on née femme, grandir dans le silence, savoir s’effaçait quant il faut, se taire aussi , servir un père , un frère, il est dans nos gènes de les servir sans geindre ,toujours dire oui, dans l’amour et l’obligation, entre le respect et la soumission ,une féminité cachait de peur d’être frapper par la honte et le déshonneur, une souffrance a la fois vive et muette qui se lient dans les yeux et les soupires des regards féminins .
Yamina savait tous ca, comme sa mère et sa grande mère avant elle….
A suivre……..
