Yamina faisait parti d’une autre génération, un génération vite bousculait par la violence et le terrorisme, ou on se réveillait le matin sur un corps décapité, ou un acte terroriste perpétrait quelque part , une embuscade, un faux barrages et bien sur le sang !des tètes horribles d’hommes barbues et sales qui tuaient ,égorgeaient, violaient au nom d’Allah ,un village isolé, des jeunes policiers, soldats tuaient devant leur portes ou dans un café ou l’or d’une permission pour les jeunes en service militaire contents enfin de rentrer chez eux, Yamina connaissait la douleur de ses femmes ,de des mères ,leurs cris, leur larmes a la perte d’un père , un frère ou d’un fils, et ces scènes presque toujours les mêmes ,le cercueil enveloppait de ce drapeau martyres deux fois ,tous ses jeunes fauchaient par la haine et l’extrémisme , elle garde toujours ce vieux reflexe quant elle prend un bus et qu’elle s’assoit ,elle n’oublie jamais de regarder furtivement , si on a pas laissé un sachet, un couffin , une vieille hantise qui l’habite toujours, et elle n’est pas la seule d’ailleurs .
Oui, on a souffert, cette société a tellement souffert dans sa chair, le sang toujours le sang,
Une indépendance aux prix du sang, beaucoup de jeune se sont refugiés dans le religion croyant trouver en elle le salut, la justice social qui tardait a venir contre la « Hogra », « la charia » la loi de dieu disaient t’ils, illuminés, embrigadés, ces jeunes ! la plupart sans études, chômeurs et incultes, qui ne connaissent rien a la religion dans leur élan et soif de dieu, brebis égarés et proies faciles a des discours de changement, versets, sourates, a l’appuis, une autre idéologie sombre ,séculaire qui interprétait l’islam comme une proclamation de guerre a toute civilisation et modernité, et condamnait la société et encore plus les femmes a un bon fantastique dans le temps ou elles furent jadis esclaves de leurs désirs sexuels et butins de guerres qu’on se partageaient comme on se partageaient les vivres et enfin fonder leur propres harems «vieux fantasmes masculins » sous couvert de dieu bien sur !! promesse d’un paradis sur terre, mais les discours vont vîtes se radicalisaient, suite aux événements.et les promesses d’un autre paradis de terreurs d’endoctrinement et qui va encore coutait des milliers de vies : « il faut plaire a dieu et pour plaire a dieu », l’état , le peuple ,a leur yeux ,nous n’étions que des mécréants.
Oui, on a souffert, cette société a tellement souffert dans sa chair, le sang toujours le sang,
Une indépendance aux prix du sang, beaucoup de jeune se sont refugiés dans le religion croyant trouver en elle le salut, la justice social qui tardait a venir contre la « Hogra », « la charia » la loi de dieu disaient t’ils, illuminés, embrigadés, ces jeunes ! la plupart sans études, chômeurs et incultes, qui ne connaissent rien a la religion dans leur élan et soif de dieu, brebis égarés et proies faciles a des discours de changement, versets, sourates, a l’appuis, une autre idéologie sombre ,séculaire qui interprétait l’islam comme une proclamation de guerre a toute civilisation et modernité, et condamnait la société et encore plus les femmes a un bon fantastique dans le temps ou elles furent jadis esclaves de leurs désirs sexuels et butins de guerres qu’on se partageaient comme on se partageaient les vivres et enfin fonder leur propres harems «vieux fantasmes masculins » sous couvert de dieu bien sur !! promesse d’un paradis sur terre, mais les discours vont vîtes se radicalisaient, suite aux événements.et les promesses d’un autre paradis de terreurs d’endoctrinement et qui va encore coutait des milliers de vies : « il faut plaire a dieu et pour plaire a dieu », l’état , le peuple ,a leur yeux ,nous n’étions que des mécréants.
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