Je suis las, prisonnier de ce monde écrasé,
Je me perds, je me tue, me trompe, et me meurtris,
Nostalgique d'un temps pur et sans tromperie,
Un monde que pourtant sans regret j'ai quitté.
La vision de ce monde me revient souvent
Quand je vois au dehors en regardant tes yeux
Entrée de l'autre monde trop parfait, trop heureux,
Qui m'attire comme tous inexorablement.
Mais encor tu repars et je meurs un peu plus,
D'avoir sans le vouloir la perfection vue,
Contrariant encor la logique des hommes.
Car cette vision si belle qu'elle fût,
Me fascine et pourtant très lentement me tue,
Je dépends de ce monde que les morts ou toi donnent...
Je me perds, je me tue, me trompe, et me meurtris,
Nostalgique d'un temps pur et sans tromperie,
Un monde que pourtant sans regret j'ai quitté.
La vision de ce monde me revient souvent
Quand je vois au dehors en regardant tes yeux
Entrée de l'autre monde trop parfait, trop heureux,
Qui m'attire comme tous inexorablement.
Mais encor tu repars et je meurs un peu plus,
D'avoir sans le vouloir la perfection vue,
Contrariant encor la logique des hommes.
Car cette vision si belle qu'elle fût,
Me fascine et pourtant très lentement me tue,
Je dépends de ce monde que les morts ou toi donnent...