VOYAGE NOCTURNE
Une ombre, une présence infinie,
Drôle de sensation en cette douce nuit,
C’est un poids pesant, et pourtant,
Je la laisse me transporter au fil du vent,
Ce que l’air est frais,
Cela me donne des caresses,
J’en frissonne sans cesse,
Si je pouvais, je lui en ferai !
Soudain je me retrouve si seul,
En plein milieu de cette foule,
Je les vois défiler devant mon œil,
Telle de l’eau de pluie qui coule,
Brusquement, l’image se trouble,
Cet univers devient mirage,
Mer ou océan ?
Qui peut le dire franchement ?
Je sais seulement que je suis sur une plage,
Possédant du sable doux et souple,
Subitement son visage s’éclaircit,
Celui d’une orientale qui me sourit,
Puis mes pensées sont embrouillées,
Lorsqu’elle m’enlace et m’embrasse,
Embrasant mon cœur blessé,
Alors mon passé s’oublie et s’efface !
Déjà la nuit passée, je me réveille,
Accompagné d’un beau soleil,
Jamais j’oublierai cette fille d’orient, ni cette nuit,
C’est ainsi, le pouvoir des larmes de la nuit…
Une ombre, une présence infinie,
Drôle de sensation en cette douce nuit,
C’est un poids pesant, et pourtant,
Je la laisse me transporter au fil du vent,
Ce que l’air est frais,
Cela me donne des caresses,
J’en frissonne sans cesse,
Si je pouvais, je lui en ferai !
Soudain je me retrouve si seul,
En plein milieu de cette foule,
Je les vois défiler devant mon œil,
Telle de l’eau de pluie qui coule,
Brusquement, l’image se trouble,
Cet univers devient mirage,
Mer ou océan ?
Qui peut le dire franchement ?
Je sais seulement que je suis sur une plage,
Possédant du sable doux et souple,
Subitement son visage s’éclaircit,
Celui d’une orientale qui me sourit,
Puis mes pensées sont embrouillées,
Lorsqu’elle m’enlace et m’embrasse,
Embrasant mon cœur blessé,
Alors mon passé s’oublie et s’efface !
Déjà la nuit passée, je me réveille,
Accompagné d’un beau soleil,
Jamais j’oublierai cette fille d’orient, ni cette nuit,
C’est ainsi, le pouvoir des larmes de la nuit…
LUDOVIC IZAMBARD
Le 17 Octobre 2012
Le 17 Octobre 2012