Tellement de rêves semblent me porter, que je laisse vagabonder mon cœur où fleurissent quelques vers pathétiques. Alors qu’un chant d’oiseaux réveillant mon cœur presque nostalgique, de mon triste regard s’échappe une larme lentement sur ma joue. Assise sur ce morceau de roche, fixant le paysage, au fond de mes yeux, une valse de rêves aux parfums exquis entre au cœur du bal que forment mes rêves. Voyant quelques galaxies, effleurant les étoiles au passage. A quel beau voyage ! Mon regard reste figé sur l’hémisphère, même si je tournoie dans l’espace ivre de beaux paysages et à la fois assoiffé de découvertes.