Chère ,dont la douceur couronne le front
De ses pales clartés aux cieux épanouis
N'ayez pas la douleur des fleurs évanouies
Que le triste regret ne vous fait pas affront
N'ayez pas le remord en leur cœur répandu
Que le chant du tourment de vos esquises larmes
Songez qu'il n'est rien de leurs mortes alarmes
Quand naît en vos beaux yeux le charme suspendu
De l'hiemal sommeil, voici le temps venu
Et la brise tremblante au travers du bois nu
À defleuri le feu de leurs corymbes rose
Mais leur enchantement si durement brise
Par l'insigne froideur de la saison morose
Persiste dans vos pleurs ou est eternise
Le floral souvenir,Chère, de leur apotheose
De ses pales clartés aux cieux épanouis
N'ayez pas la douleur des fleurs évanouies
Que le triste regret ne vous fait pas affront
N'ayez pas le remord en leur cœur répandu
Que le chant du tourment de vos esquises larmes
Songez qu'il n'est rien de leurs mortes alarmes
Quand naît en vos beaux yeux le charme suspendu
De l'hiemal sommeil, voici le temps venu
Et la brise tremblante au travers du bois nu
À defleuri le feu de leurs corymbes rose
Mais leur enchantement si durement brise
Par l'insigne froideur de la saison morose
Persiste dans vos pleurs ou est eternise
Le floral souvenir,Chère, de leur apotheose
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