Quel visage, mon Dieu.
Dans ses yeux chatoyants c'est une immensité
De passion, d'amour, de cette évanescence,
Un long frémissement, un appel au silence
Se fait et j'aime bien ce regard fruité,
C'est un soleil levant sur mon cœur amoureux,
Et des brassées de fleurs comme des herbes folles
Sur son large front tombent en farandoles
Légeres sur ses cils que flatte un ciel heureux,
Comme l'essor lent, des oiseaux de paradis,
Dessine l'arbre éteint du jour et pose un masque
À la nuit sous le son des cloches d'une frasque
Étrange, son dessin bat mon rêve en sursis,
Quand flâneuse sa main fait un déguisement
À son ample beauté, j'imagine qu'une lyre
La harpe ou le hautbois joue avec mon délire
Et fête de nouveau ce long enlacement,
Ce visage secret est un parfum de lys,
Comme l'émail lascif pare sa caravane
De nuages le soir, sa crinière havane,
Retombe sur sa peau lumineuse d'Iblis,
Mon amour laissez-moi encore caresser
Ce décor enivrant qu'est votre doux visage
J'aime tant m'égarer sur ce vaste paysage
À la gloire... D'un dieu, qui ne sait s'en lasser...
Daniel beau le poète rêveur
16 mars 2018
Inknotpad
Google Chrome
17:32
Dans ses yeux chatoyants c'est une immensité
De passion, d'amour, de cette évanescence,
Un long frémissement, un appel au silence
Se fait et j'aime bien ce regard fruité,
C'est un soleil levant sur mon cœur amoureux,
Et des brassées de fleurs comme des herbes folles
Sur son large front tombent en farandoles
Légeres sur ses cils que flatte un ciel heureux,
Comme l'essor lent, des oiseaux de paradis,
Dessine l'arbre éteint du jour et pose un masque
À la nuit sous le son des cloches d'une frasque
Étrange, son dessin bat mon rêve en sursis,
Quand flâneuse sa main fait un déguisement
À son ample beauté, j'imagine qu'une lyre
La harpe ou le hautbois joue avec mon délire
Et fête de nouveau ce long enlacement,
Ce visage secret est un parfum de lys,
Comme l'émail lascif pare sa caravane
De nuages le soir, sa crinière havane,
Retombe sur sa peau lumineuse d'Iblis,
Mon amour laissez-moi encore caresser
Ce décor enivrant qu'est votre doux visage
J'aime tant m'égarer sur ce vaste paysage
À la gloire... D'un dieu, qui ne sait s'en lasser...
Daniel beau le poète rêveur
16 mars 2018
Inknotpad
Google Chrome
17:32
Dernière édition: