A quoi peut bien servir cette lutte effrénée
Cette quête d’un bonheur qui reste inaccessible
Puisque de toute façon tous ses rêves sont fanés
Quand même l’envie de vivre s’en devient impossible…
Alors elle reste là, spectatrice de sa vie
Comme dans un mauvais film dont elle est l’héroïne
Elle avance en chagrin, elle dit non, elle dit oui
Elle étouffe son cœur au fond de sa poitrine…
Elle érige un long mur, une barrière protectrice
Elle ne mérite même plus qu’on l’a couvre d’Amour
Car son âme n’est que plaies, béantes cicatrices
Elle aimerait s’endormir…comme peut mourir le jour…
Elle t’accueil dans sa chambre et elle t’ouvre ses cuisses
Puisque de toute façon tu viendra te servir
T’abreuver à la source de ses derniers supplices
Elle t’accepte en son antre mais prie dieu de mourir…
Haletant et brutal tu viens la posséder
Elle se transforme alors en poupée de chiffon
Un morceau de tissus, une étole râpée
A quoi sert de lutter…sa vie n’est qu’ illusion…
Mais il y a vos enfants et leurs yeux scintillants
Eux encore si petits, le fruit de ses entrailles
Qui au creux d’un sourire semblent dirent « maman ,
Reste forte pour nous et avance vaille que vaille… »
Alors elle en oublie même la lame de rasoir
Qui pourrait l’évider de ce mal qui la ronge
Elle continu d’errer dans ce monde illusoire
Et elle berce ses nuits de douleurs, de mensonges…
La vilaine sirène se permet juste un rêve
Elle se dit que peut être, un ange viendra un jour
Qui l’emportera loin, lui accordant la trêve
Avant que ses yeux verts ne se ferment pour toujours…..
Cette quête d’un bonheur qui reste inaccessible
Puisque de toute façon tous ses rêves sont fanés
Quand même l’envie de vivre s’en devient impossible…
Alors elle reste là, spectatrice de sa vie
Comme dans un mauvais film dont elle est l’héroïne
Elle avance en chagrin, elle dit non, elle dit oui
Elle étouffe son cœur au fond de sa poitrine…
Elle érige un long mur, une barrière protectrice
Elle ne mérite même plus qu’on l’a couvre d’Amour
Car son âme n’est que plaies, béantes cicatrices
Elle aimerait s’endormir…comme peut mourir le jour…
Elle t’accueil dans sa chambre et elle t’ouvre ses cuisses
Puisque de toute façon tu viendra te servir
T’abreuver à la source de ses derniers supplices
Elle t’accepte en son antre mais prie dieu de mourir…
Haletant et brutal tu viens la posséder
Elle se transforme alors en poupée de chiffon
Un morceau de tissus, une étole râpée
A quoi sert de lutter…sa vie n’est qu’ illusion…
Mais il y a vos enfants et leurs yeux scintillants
Eux encore si petits, le fruit de ses entrailles
Qui au creux d’un sourire semblent dirent « maman ,
Reste forte pour nous et avance vaille que vaille… »
Alors elle en oublie même la lame de rasoir
Qui pourrait l’évider de ce mal qui la ronge
Elle continu d’errer dans ce monde illusoire
Et elle berce ses nuits de douleurs, de mensonges…
La vilaine sirène se permet juste un rêve
Elle se dit que peut être, un ange viendra un jour
Qui l’emportera loin, lui accordant la trêve
Avant que ses yeux verts ne se ferment pour toujours…..