Reposant dans ton logis aussi familer qu'inhabituel,
Mon coeur se jette pèle mêle,
Dans le refuge de tes bras,
Et vient fulminer dans l'art abstrait,
Chaques cristaux, Chaques perles,
Touchant ma peau,
C'est chacune de tes caresses qui se répercutes sur mon corps,
Jamais mon coeur ne cessera,
Tant qu'il n'entendra pas le tient battre,
La noirceur du monde couvre mon sacerdoce de tâches de sang,
Aussi vives que mon âme,
Elles tâches ma vie, mon esprit,
Elles obscursissent mes sens,
Je ne dis rien, je laisse la vie défilée, telle une morte,
Mon coeur ne cesse pourtant pas, il patiente,
Des décénies à rester couchée,
Des millénaire à t'attendre,
Sans que tu ne reviennes,
Mon espoire finit, je n'abandonne toujours pas,
Et pour mettre fin à ma douleur,
Chose que tu n'as su faire,
Mon coeur le fit,
Il cessa, et avec lui, mon amour, légué à plus méritant...
Je meurs, sachant que je t'aime, et je ne pouvais esperer plus belle mort...
Mon coeur se jette pèle mêle,
Dans le refuge de tes bras,
Et vient fulminer dans l'art abstrait,
Chaques cristaux, Chaques perles,
Touchant ma peau,
C'est chacune de tes caresses qui se répercutes sur mon corps,
Jamais mon coeur ne cessera,
Tant qu'il n'entendra pas le tient battre,
La noirceur du monde couvre mon sacerdoce de tâches de sang,
Aussi vives que mon âme,
Elles tâches ma vie, mon esprit,
Elles obscursissent mes sens,
Je ne dis rien, je laisse la vie défilée, telle une morte,
Mon coeur ne cesse pourtant pas, il patiente,
Des décénies à rester couchée,
Des millénaire à t'attendre,
Sans que tu ne reviennes,
Mon espoire finit, je n'abandonne toujours pas,
Et pour mettre fin à ma douleur,
Chose que tu n'as su faire,
Mon coeur le fit,
Il cessa, et avec lui, mon amour, légué à plus méritant...
Je meurs, sachant que je t'aime, et je ne pouvais esperer plus belle mort...