Y'avait un trou dans ta voix
Un grand vide qui engouffrait
Tous ces mots qu'on t'avais dits
Et qui sifflaient comme un train
Qui passe bien après minuit
et qui trouble le repos
Sur des rails rouillés d'angoisse
Dont on ne détache le regard
Tes yeux se sont écarquillés
Comme le grand écart d'une réalité
Qui d'un coup d'un pinceau a peint
En surréalisme ta vie
Tes lèvres remuaient le poids
De la lourdeur soudaine des mots
Sans un cri d'espérance
Tu as noué la souffrance
Pour la jeter par-dessus bord
Pour noyer l'instant fragile
Dans l'eau glaciale de l'oubli
Où tout se dévore d'un trait
Un grand vide qui engouffrait
Tous ces mots qu'on t'avais dits
Et qui sifflaient comme un train
Qui passe bien après minuit
et qui trouble le repos
Sur des rails rouillés d'angoisse
Dont on ne détache le regard
Tes yeux se sont écarquillés
Comme le grand écart d'une réalité
Qui d'un coup d'un pinceau a peint
En surréalisme ta vie
Tes lèvres remuaient le poids
De la lourdeur soudaine des mots
Sans un cri d'espérance
Tu as noué la souffrance
Pour la jeter par-dessus bord
Pour noyer l'instant fragile
Dans l'eau glaciale de l'oubli
Où tout se dévore d'un trait