Pour cette petite fille si différente des autres,
Qui n'a jamais vouluy, faire partie des vôtres,
J'écris ce poème, pour qu'elle ouvre son coeur,
J'écris toutes ces lignes, pour achever le malheur.
Pour cette petite fille qui n'a jamais compris,
Qu'on la regarde comme ça parce qu'elle n'est pas,
Ce qu'on attendait d'elle, merveilleuse étincelle,
Je verse une larme, une juste pour elle.
Qui n'a jamais vouluy, faire partie des vôtres,
J'écris ce poème, pour qu'elle ouvre son coeur,
J'écris toutes ces lignes, pour achever le malheur.
Pour cette petite fille qui n'a jamais compris,
Qu'on la regarde comme ça parce qu'elle n'est pas,
Ce qu'on attendait d'elle, merveilleuse étincelle,
Je verse une larme, une juste pour elle.
Dans son grand désarroi, la petite fille se noie.
Elle sait très bien qu'elle n'aime pas les garçons,
Ne veut pas qu'on s'acharne avec mauvaises raisons,
De lui dire tout le temps qu'un homme elle marriera.
Pour ne plus laisser dire, un millier de raisons,
Pour ne plus contredire, que son coeur à raison,
Je verse une larme pour lui dire qu'il faut vivre,
Qu'il faut qu'elle continue, que d'la vie elle soit ivre.
Elle sait très bien qu'elle n'aime pas les garçons,
Ne veut pas qu'on s'acharne avec mauvaises raisons,
De lui dire tout le temps qu'un homme elle marriera.
Pour ne plus laisser dire, un millier de raisons,
Pour ne plus contredire, que son coeur à raison,
Je verse une larme pour lui dire qu'il faut vivre,
Qu'il faut qu'elle continue, que d'la vie elle soit ivre.
Pour de mauvaises raisons, elle pense quitter cette vie,
Même si elle continue à croire en l'être humain.
Pour que le monde sache, qu'elle voit mourir ici,
Ses mots qui ternissent le papier, jusqu'à sa propre fin.
Aujourd'hui, comme hier, je dois vivre avec elle.
Désormais, mon coeur et le sien se mêlent.
Cette petite fille, c'est moi, est-ce que ça interpelle ?
Verserez-vous une larme pour que ma vie soit belle ?
Même si elle continue à croire en l'être humain.
Pour que le monde sache, qu'elle voit mourir ici,
Ses mots qui ternissent le papier, jusqu'à sa propre fin.
Aujourd'hui, comme hier, je dois vivre avec elle.
Désormais, mon coeur et le sien se mêlent.
Cette petite fille, c'est moi, est-ce que ça interpelle ?
Verserez-vous une larme pour que ma vie soit belle ?