Venez voir mon royaume, mon pays, mon château
Je vous offre comme cadeau mon cheval, mon bateau
Tombez de nul part au bord de ma rivière
Venez ! Je vous invite de reboire à l’ordinaire
Restez jusqu'à l’automne, je refais les rideaux
Venez je vous offre ma chaleur, mon manteau
Venez loin de l’hiver, mon passé, mon présent
Marchez sur mes fleurs, mes amours ont raison
Visitez tous mes pièces à l’arrogance d’un palais
Dormez bien dans mon lit à coté de ma flamme
Venez voir sa beauté elle est pale comme une femme
C’est ma chère, mon ennemie, les dépouilles des années
Saurez-vous vous assoire à coté de mes nuits ?
Élégante comme le soir habiller en robe noire
Comme une reine qui admire la majesté de mes couloirs
Pourrez vous me retenir parce que la je vous nuis ?
Témoignez ce qui fume la plus sage de mes plumes
Ramassez tous les sandres et offrez les à la mer
Laissez les mettre au monde l’arc en ciel de mes vers
Venez croire à mes maux qui s’allument à ma manière.
Je vous offre comme cadeau mon cheval, mon bateau
Tombez de nul part au bord de ma rivière
Venez ! Je vous invite de reboire à l’ordinaire
Restez jusqu'à l’automne, je refais les rideaux
Venez je vous offre ma chaleur, mon manteau
Venez loin de l’hiver, mon passé, mon présent
Marchez sur mes fleurs, mes amours ont raison
Visitez tous mes pièces à l’arrogance d’un palais
Dormez bien dans mon lit à coté de ma flamme
Venez voir sa beauté elle est pale comme une femme
C’est ma chère, mon ennemie, les dépouilles des années
Saurez-vous vous assoire à coté de mes nuits ?
Élégante comme le soir habiller en robe noire
Comme une reine qui admire la majesté de mes couloirs
Pourrez vous me retenir parce que la je vous nuis ?
Témoignez ce qui fume la plus sage de mes plumes
Ramassez tous les sandres et offrez les à la mer
Laissez les mettre au monde l’arc en ciel de mes vers
Venez croire à mes maux qui s’allument à ma manière.
Djebrale.