Je ne puis expliquer,
Tout au fond de mon lit,
Dans ma gorge serrée,
Les sanglots de la nuit.
Je sais ces sentiments,
Où les mots font du mal
Et, qu’au détour du temps,
Les maux, comme Vestales,
Apportent, des abysses,
L’étrange certitude
Qu’on n’est plus dans la lice,
Qu’un vent de solitude
Etreint, la nuit tombée,
Le cœur comme un linceul,
Qu’on a mal au passé,
Qu’on se retrouve seul.
Quand s’écorche mon âme,
Dans le ciel de ma nuit,
J’ai des mots vague à l’âme
Et, dans l'ombre, j'essuie
Les larmes que je verse,
En perles de rosée ;
Le silence me berce...
...Et me voilà muet.
Tout au fond de mon lit,
Dans ma gorge serrée,
Les sanglots de la nuit.
Je sais ces sentiments,
Où les mots font du mal
Et, qu’au détour du temps,
Les maux, comme Vestales,
Apportent, des abysses,
L’étrange certitude
Qu’on n’est plus dans la lice,
Qu’un vent de solitude
Etreint, la nuit tombée,
Le cœur comme un linceul,
Qu’on a mal au passé,
Qu’on se retrouve seul.
Quand s’écorche mon âme,
Dans le ciel de ma nuit,
J’ai des mots vague à l’âme
Et, dans l'ombre, j'essuie
Les larmes que je verse,
En perles de rosée ;
Le silence me berce...
...Et me voilà muet.