A l'abri des regards, réfugiée sous un chêne,
Nue, sa peau fut purifiée par des trombes d'eau.
Traumatisé, le vampire qu'est mon cerveau
A su s'emparer de l'âme et souder ses chaines.
L'obscurité gagnait sur le soleil vitreux,
La pluie cessait de s'abattre sur la contrée.
Les chaines résistent contre vents et marées,
Les ténèbres réveillent les vampires hargneux.
La cervelle asséchée, ses crocs luisent au soleil.
Ruisselante, la boue momifie son sommeil.
Son cercueil enveloppe son corps sous sa cape.
Son coeur fut transpercé par un solide pieux,
Tel sa source, il croît et épuise son milieu.
Ses égaux exorcisent la mort qui les drape.
Nue, sa peau fut purifiée par des trombes d'eau.
Traumatisé, le vampire qu'est mon cerveau
A su s'emparer de l'âme et souder ses chaines.
L'obscurité gagnait sur le soleil vitreux,
La pluie cessait de s'abattre sur la contrée.
Les chaines résistent contre vents et marées,
Les ténèbres réveillent les vampires hargneux.
La cervelle asséchée, ses crocs luisent au soleil.
Ruisselante, la boue momifie son sommeil.
Son cercueil enveloppe son corps sous sa cape.
Son coeur fut transpercé par un solide pieux,
Tel sa source, il croît et épuise son milieu.
Ses égaux exorcisent la mort qui les drape.