Son essence parfume un désir langoureux
Dans son cœur amoureux,
Recouvrant de ses pleurs ce pénible silence
Le plaisir se limite à son ivresse intense
Qui s’ouvre en résonance.
Elle écrit quelques mots de ce chant douloureux.
Dans son cœur amoureux,
Recouvrant de ses pleurs ce pénible silence
Le plaisir se limite à son ivresse intense
Qui s’ouvre en résonance.
Elle écrit quelques mots de ce chant douloureux.
Mais les ans sont passés comme un soir bien heureux,
Au souffle généreux.
Du visage au contour laisse une ride immense,
Qu’elle efface selon, tout comme cette offense,
Dans une folle outrance,
Rien ne pousse le temps du chemin poussiéreux.
Au souffle généreux.
Du visage au contour laisse une ride immense,
Qu’elle efface selon, tout comme cette offense,
Dans une folle outrance,
Rien ne pousse le temps du chemin poussiéreux.
Érato s’abandonne au songe d’une plume
Exprimant le regret qui trace quelques vers.
Dans l’ombre des hivers,
L’océan se déchaîne en ses flots sans écume.
Exprimant le regret qui trace quelques vers.
Dans l’ombre des hivers,
L’océan se déchaîne en ses flots sans écume.
Elle étonne le temps composant ces revers
Délaissant derrière soi la chaleur d’une brume
Qui couve l’amertume.
Tôt le poète dort au ciel de l’univers.
Délaissant derrière soi la chaleur d’une brume
Qui couve l’amertume.
Tôt le poète dort au ciel de l’univers.
Maria-Dolores
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