Une saison en tête
On peut voir sur la tête un jardin merveilleux.
Où le monde partage un bel instant de grâce
Et quand dame nature éblouit d’une audace
Quelques fleurs en journée au parfum chatouilleux.
Fée Ondine a perçu le charme de la lune.
Pour offrir la lueur tout le long du chemin
Et le soir dès minuit a touché pour fortune
Une saison perdue en son aura commune
Qui voit sa folle ivresse à l’éclat surhumain.
Maria-Dolores