Une plume sombre, noire
Plongée dans une encre rouge sang
Ecrit une intrigue où voir
Dépend de la volonté du vent.
La fumée s'évapore en cendres
Le feu brûle, chaud, étouffant
La panique parcourt tes membres,
Tu pleures, agonisant.
Mais le feu, c'est aussi luminosité
Et la plume est cette lumière
Sans chaleur, hélas, et cette triste vérité
Est transparente comme le verre.
L'encre est un moyen dérisoire
D'exprimer ce que tu ressens.
En écrivant,nu on peut te perçevoir
Car tu dévoile tes sentiments.
Après l'écriture, ton coeur est étendu
Cet organe si vaste, et pourtant si petit
Pourtant vide, et mis à nu
Par l'écriture et ta volonté d'esprit.
Petit coeur triste, qui te cherche;
Il a peur, il s'affole !
La plume, qui a planté sa perche
En ton sein, est devenue folle!
La plume a gagné, certes,
Contre le coeur, qui s'endort
La plume, avec l'insomnie, devient verte
De peur: il est, comme elle, mort.
Plongée dans une encre rouge sang
Ecrit une intrigue où voir
Dépend de la volonté du vent.
La fumée s'évapore en cendres
Le feu brûle, chaud, étouffant
La panique parcourt tes membres,
Tu pleures, agonisant.
Mais le feu, c'est aussi luminosité
Et la plume est cette lumière
Sans chaleur, hélas, et cette triste vérité
Est transparente comme le verre.
L'encre est un moyen dérisoire
D'exprimer ce que tu ressens.
En écrivant,nu on peut te perçevoir
Car tu dévoile tes sentiments.
Après l'écriture, ton coeur est étendu
Cet organe si vaste, et pourtant si petit
Pourtant vide, et mis à nu
Par l'écriture et ta volonté d'esprit.
Petit coeur triste, qui te cherche;
Il a peur, il s'affole !
La plume, qui a planté sa perche
En ton sein, est devenue folle!
La plume a gagné, certes,
Contre le coeur, qui s'endort
La plume, avec l'insomnie, devient verte
De peur: il est, comme elle, mort.