Maryvelo...8,33 /10
les rimes ne sont pas régulières, à saluer l'acrostiche qui augmente
la difficulté des contraintes importantes de mots déjà imposées.
une partie de pêche très sensuelle....à la pêche ou chez soi.... très coquin...comme idée...original aussi ! Une partie de pêche coquine à souhait. J'ai bien aimé cette partie de pêche au appâts natures. Il fallait oser, un écrit où la subtilité s'exerce avec brio !
10...Une partie de pêche en duo.
Un coin de paradis où coule une rivière ; derrière le buisson
Nus comme un ver sans bottine ni pantalon,
Emmêlés enlacés,de lui à moi par son appât ;
Pêche fructueuse d'un vif moulinet glissant tel l'avocat,
A la barbe plus douce et suave qu'un poisson chat,
Roulant des baisers langoureux au creux des ébats,
Tape, tourne mon cœur qui tangue dire un bateau,
Idyllique moment à l'ombrage de la vie et des rires aux oiseaux.
Ensemble nous saisissons l'instant sans bouteille ni épuisette,
Des pêches au coup entraînant de charnelles galipettes,
Équipés d'une canne qui fracasserait les rochers,
Pour nous aimer, nous déchaîner, nous pâmer.
Ééternel notre désir à frétiller le bouchon avec la gaule affûtée.
Chasse, pêche, chacun son sport, caressons nos natures,
Harmonie de nos corps baigne de luxure.
Endiablés au fil de ce dédale...mais c'est un ancien plaisir.
Êtres vieillis, arrive le deuxième acte du délire.
Nous voilà courbés semblables au saule pleureur ! ô souvenirs.
Désormais le chien assis au pied du parasol et nous dans un fauteuil...
Union des mémoires écrirait un sensuel recueil...
Osmose du duo « la moule et le gardon sous la feuille ».
*******
les rimes ne sont pas régulières, à saluer l'acrostiche qui augmente
la difficulté des contraintes importantes de mots déjà imposées.
une partie de pêche très sensuelle....à la pêche ou chez soi.... très coquin...comme idée...original aussi ! Une partie de pêche coquine à souhait. J'ai bien aimé cette partie de pêche au appâts natures. Il fallait oser, un écrit où la subtilité s'exerce avec brio !
10...Une partie de pêche en duo.
Un coin de paradis où coule une rivière ; derrière le buisson
Nus comme un ver sans bottine ni pantalon,
Emmêlés enlacés,de lui à moi par son appât ;
Pêche fructueuse d'un vif moulinet glissant tel l'avocat,
A la barbe plus douce et suave qu'un poisson chat,
Roulant des baisers langoureux au creux des ébats,
Tape, tourne mon cœur qui tangue dire un bateau,
Idyllique moment à l'ombrage de la vie et des rires aux oiseaux.
Ensemble nous saisissons l'instant sans bouteille ni épuisette,
Des pêches au coup entraînant de charnelles galipettes,
Équipés d'une canne qui fracasserait les rochers,
Pour nous aimer, nous déchaîner, nous pâmer.
Ééternel notre désir à frétiller le bouchon avec la gaule affûtée.
Chasse, pêche, chacun son sport, caressons nos natures,
Harmonie de nos corps baigne de luxure.
Endiablés au fil de ce dédale...mais c'est un ancien plaisir.
Êtres vieillis, arrive le deuxième acte du délire.
Nous voilà courbés semblables au saule pleureur ! ô souvenirs.
Désormais le chien assis au pied du parasol et nous dans un fauteuil...
Union des mémoires écrirait un sensuel recueil...
Osmose du duo « la moule et le gardon sous la feuille ».
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