Dans ce monde ténébreux, luit une étrange clarté.
Il y a quelques temps, la vie me semblait bien futile:
Nul coin pour se reposer, nul endroit où respirer.
Lorsque, sans crier garde, surgit cette lumière fébrile.
Seul, me sentant abandonné de tous ou de la plupart,
Je m’enfonçais dans cet abominable cercle vicieux:
Rejeter ceux qui avaient pour moi un quelconque égard.
Lorsque, vainqueur de mon rejet, surgit cet astre lumineux.
N’ayant pour moi alors aucune considération,
Je me laissais sombrer à de fatales activités
Qui unissaient dans leur tourmente mal-être et déraison.
Lorsque, semblable à moi, surgit cet astre tourmenté.
Face à cette terrible mais si prévisible fatalité,
Qui consistait en une interminable préparation
Pour un concours perdu avant même d’être commencé,
Cette lumière, par sa douceur, sut redorer ma motivation.
Je dois à cette lumière, et mon bonheur actuel
Et peut-être même mes futures joies.
Je lui dois surtout cet apaisement partiel.
Cette clarté, mon cœur, c’est toi.
Il y a quelques temps, la vie me semblait bien futile:
Nul coin pour se reposer, nul endroit où respirer.
Lorsque, sans crier garde, surgit cette lumière fébrile.
Seul, me sentant abandonné de tous ou de la plupart,
Je m’enfonçais dans cet abominable cercle vicieux:
Rejeter ceux qui avaient pour moi un quelconque égard.
Lorsque, vainqueur de mon rejet, surgit cet astre lumineux.
N’ayant pour moi alors aucune considération,
Je me laissais sombrer à de fatales activités
Qui unissaient dans leur tourmente mal-être et déraison.
Lorsque, semblable à moi, surgit cet astre tourmenté.
Face à cette terrible mais si prévisible fatalité,
Qui consistait en une interminable préparation
Pour un concours perdu avant même d’être commencé,
Cette lumière, par sa douceur, sut redorer ma motivation.
Je dois à cette lumière, et mon bonheur actuel
Et peut-être même mes futures joies.
Je lui dois surtout cet apaisement partiel.
Cette clarté, mon cœur, c’est toi.