oh il est parti le voyageur, il est parti au coeur des nuits, avec au fond de son coeur le rêve de toute une vie.
qu'il est beau quand il s’éloigne, il ressemble a l’étoile lointaine,
tu sais bien, celle qui fait frémir ces âmes, a force d'illusions incertaines.
dit mon prince il est ou ton empire?
est tu ce roi fou qui le réduit en cendre dans l’éclat d'un sourire?
oh le voyageur de l'ombre a tout quitter,
son existence dévasté.
et oui mon prince il est tout, il a rien.
pas de cheval pas d'histoire..
et et encore moins de royaume!
il est partit a pied, sans chemin.
il est parti pour mieux voir.
et dit, il se dit comment ton prenom?
je crois que je l'ai oublié..
oh dit, ne répond pas a ma question,
je ne veut pas m'en rappeler.
oh comme il est beau là au loin!
sa silhouette se fond a la poussière...
il est vaillant il est mystère!
alors au diable l'espoir, ce fils de misère!
ah pourtant que cela soit misérable, moi j’espère vous savez..
j’espère ne pas devoir continuer cet écrit.
mais je ne peut helas me retenir quand vient l'ennui...
il s'en va sans regret,
moi non plus.
allons nager.
en fait mon corps s'est perdu,
je crois qu'il s'est noyé.
j'ai senti l'eau caresser mon visage,
et l’oxygène s’échapper vers de mornes rivages.
je me suis endormi, un jours entier, une année prochaine.
j'ai la curieuse sensation de flotter, accompagne moi,
c'est triste de ne pas être ce que je crois.....
et là, dans la boue certes, je ne suis pas triste.
mais je ressent comme une gene.
le prince est parti valeureux, et cela au moin, ça me rend heureux.
oh, en parlant de lui, ça y est je ne le voit plus.
qu'il est seul dessous le ciel..
qui est nombreux dedans l'esprit.
après tout la solitude est une merveille.
sans ça je serai partout sauf ici,
a écrire mes mots perdu, a écrire qui l'eu cru,
un récit pour personne.
ou pour moi pour tout ce qui résonne,
pour les mots qu'il chuchote mon voyageur..
pour l’énigmatique réalité de mon coeur..
celui qui divague qui cherche sa chair.
oh toi mots maudit,
dit ou tu te perd quand je ne t'ai pas dit?
quand je te cache et t'enterre...
est tu sur que personne ne t'entend?
même si je ne dit rien, je l’espère pourtant.....
Aller, va, comme un prince,
va.. te trouver les faveur d'une nouvelle province.
un nouveau royaume, un sourire...
et peut etre un jours aurais-je la chance te voir rebâtir,
un tout nouvel empire!
qu'il est beau quand il s’éloigne, il ressemble a l’étoile lointaine,
tu sais bien, celle qui fait frémir ces âmes, a force d'illusions incertaines.
dit mon prince il est ou ton empire?
est tu ce roi fou qui le réduit en cendre dans l’éclat d'un sourire?
oh le voyageur de l'ombre a tout quitter,
son existence dévasté.
et oui mon prince il est tout, il a rien.
pas de cheval pas d'histoire..
et et encore moins de royaume!
il est partit a pied, sans chemin.
il est parti pour mieux voir.
et dit, il se dit comment ton prenom?
je crois que je l'ai oublié..
oh dit, ne répond pas a ma question,
je ne veut pas m'en rappeler.
oh comme il est beau là au loin!
sa silhouette se fond a la poussière...
il est vaillant il est mystère!
alors au diable l'espoir, ce fils de misère!
ah pourtant que cela soit misérable, moi j’espère vous savez..
j’espère ne pas devoir continuer cet écrit.
mais je ne peut helas me retenir quand vient l'ennui...
il s'en va sans regret,
moi non plus.
allons nager.
en fait mon corps s'est perdu,
je crois qu'il s'est noyé.
j'ai senti l'eau caresser mon visage,
et l’oxygène s’échapper vers de mornes rivages.
je me suis endormi, un jours entier, une année prochaine.
j'ai la curieuse sensation de flotter, accompagne moi,
c'est triste de ne pas être ce que je crois.....
et là, dans la boue certes, je ne suis pas triste.
mais je ressent comme une gene.
le prince est parti valeureux, et cela au moin, ça me rend heureux.
oh, en parlant de lui, ça y est je ne le voit plus.
qu'il est seul dessous le ciel..
qui est nombreux dedans l'esprit.
après tout la solitude est une merveille.
sans ça je serai partout sauf ici,
a écrire mes mots perdu, a écrire qui l'eu cru,
un récit pour personne.
ou pour moi pour tout ce qui résonne,
pour les mots qu'il chuchote mon voyageur..
pour l’énigmatique réalité de mon coeur..
celui qui divague qui cherche sa chair.
oh toi mots maudit,
dit ou tu te perd quand je ne t'ai pas dit?
quand je te cache et t'enterre...
est tu sur que personne ne t'entend?
même si je ne dit rien, je l’espère pourtant.....
Aller, va, comme un prince,
va.. te trouver les faveur d'une nouvelle province.
un nouveau royaume, un sourire...
et peut etre un jours aurais-je la chance te voir rebâtir,
un tout nouvel empire!
