Mon coeur, dans ce poème, ici,
Je vais parler de ton physique.
Je vais te dire ce que j'aime chez toi,
Même si tout ça, tu le sais déjà.
Mon coeur, tes tifs resplendissants,
Que je me lasse pas de contempler.
A force de les regarder,
Je vais devenir non-voyant.
Mon coeur, tes distrayants yeux verts,
Beaux à m'en faire perdre la tête,
Et je te dirais même peut-être,
Que du dégoût, ils m'évoquent le contraire.
Mon coeur, ensuite, il y a ton nez,
Ton joli nez que tu veux changer.
Je te demande de le laisser,
Car moi je le trouve parfait.
Mon coeur, ton magnifique sourire,
Qui me donne tout plein de bonheur,
Me fait oublier mes malheurs,
Et me fait oublier le pire.
Mon coeur, ta jolie petite langue,
Que la mienne viendra embrasser.
Et quand elles vont se séparer,
Elles reviendront, comme un boomerang.
Mon coeur, il y a tes tous fins bras,
Qui tombent le long de ton corps;
Qui se mettront autour de mon corps
Quand je dirais "Mon coeur, viens dans mes bras".
Mon coeur, viennent maintenant tes seins,
La chose que tu préfère sur toi,
La chose que t'aimes le plus sur toi,
Je dois avouer, moi, je les aime bien.
Mon coeur, ton petit ventre doux,
Que toi, tu trouves vraiment trop gros.
Moi, je le trouve vraiment trop beau,
J'espère juste qu'il n'est aps trop mou.
Mon coeur, parlons de ton dos, quoi
Dire de ton joli dos creusé?
L'avoir contre moi, j'aimerais,
Avec mes bras autour de toi.
Mon coeur, tes fesses rebondissantes,
Que tu pourrais mettre au Guiness Book.
J'aimerais les avoir sur mes genoux,
Et on ferait des câlins charmants.
Mon coeur, venons-en à tes cuisses,
Qui sont légèrement dodues.
Mais seulement, qu'elles sont charnues,
Je te promets que c'est pas un vice.
Mon coeur, on a bientôt fini,
Mais d'abord, parlons de tes pieds.
Les plus beaux de la voilactée,
Et pour tous les temps infinis.
Mon coeur, enfin, il y a ton coeur,
Ton coeur aussi gros qu'une baleine.
Et juste parce que tu m'aimes,
Ton coeur est ma source de bonheur.
Mon coeur, je t'ai écrit ce poème,
Et je te le jure, que je t'aime,
Je te promets mon amour infini,
Jusqu'à ce que les temps soient finis.
----- VAN DELSEN Quentin -----
Je vais parler de ton physique.
Je vais te dire ce que j'aime chez toi,
Même si tout ça, tu le sais déjà.
Mon coeur, tes tifs resplendissants,
Que je me lasse pas de contempler.
A force de les regarder,
Je vais devenir non-voyant.
Mon coeur, tes distrayants yeux verts,
Beaux à m'en faire perdre la tête,
Et je te dirais même peut-être,
Que du dégoût, ils m'évoquent le contraire.
Mon coeur, ensuite, il y a ton nez,
Ton joli nez que tu veux changer.
Je te demande de le laisser,
Car moi je le trouve parfait.
Mon coeur, ton magnifique sourire,
Qui me donne tout plein de bonheur,
Me fait oublier mes malheurs,
Et me fait oublier le pire.
Mon coeur, ta jolie petite langue,
Que la mienne viendra embrasser.
Et quand elles vont se séparer,
Elles reviendront, comme un boomerang.
Mon coeur, il y a tes tous fins bras,
Qui tombent le long de ton corps;
Qui se mettront autour de mon corps
Quand je dirais "Mon coeur, viens dans mes bras".
Mon coeur, viennent maintenant tes seins,
La chose que tu préfère sur toi,
La chose que t'aimes le plus sur toi,
Je dois avouer, moi, je les aime bien.
Mon coeur, ton petit ventre doux,
Que toi, tu trouves vraiment trop gros.
Moi, je le trouve vraiment trop beau,
J'espère juste qu'il n'est aps trop mou.
Mon coeur, parlons de ton dos, quoi
Dire de ton joli dos creusé?
L'avoir contre moi, j'aimerais,
Avec mes bras autour de toi.
Mon coeur, tes fesses rebondissantes,
Que tu pourrais mettre au Guiness Book.
J'aimerais les avoir sur mes genoux,
Et on ferait des câlins charmants.
Mon coeur, venons-en à tes cuisses,
Qui sont légèrement dodues.
Mais seulement, qu'elles sont charnues,
Je te promets que c'est pas un vice.
Mon coeur, on a bientôt fini,
Mais d'abord, parlons de tes pieds.
Les plus beaux de la voilactée,
Et pour tous les temps infinis.
Mon coeur, enfin, il y a ton coeur,
Ton coeur aussi gros qu'une baleine.
Et juste parce que tu m'aimes,
Ton coeur est ma source de bonheur.
Mon coeur, je t'ai écrit ce poème,
Et je te le jure, que je t'aime,
Je te promets mon amour infini,
Jusqu'à ce que les temps soient finis.
----- VAN DELSEN Quentin -----
