Tu le sais, au contraire de moi pour toi, tu n’es pas ma primevère et crois moi que je le regrette. Mais bon c’est comme ça, nous n’y pouvons rien, c’est le destin qui a choisit de nous mettre d’autres personnes sur nos routes respectives, jusqu’à ce jour de août 2003 où je t’ai rencontré. Je me suis sentie à la saison des jonquilles, oui c’est la fleur que j’aurais voulu te cueillir. Pourquoi, pour qu’est ce? Je ne sais pas . Mais au fond de mon cœur, je nifflais l’odeur du lilas mêlée à celle de l’œillet. En quelques mois à peine, tu m’as apporté des bleuets et des mimosas. J’étais déjà aux anges. Mais je n’ai pas su voir correctement tes sentiments. Bien que tu m’ais fait des blessures, tu as toujours cueillit des mauves et des marguerites, alors que moi je n’ai pas toujours su le faire, et j‘en suis navrée.
Mais en Mai, j’ai reçu de ta part du muguet, ce qui voulait tout dire. Tu m’aimais, vraiment, avec des cyclamens, des camélias et des capucines par milliers, que tu m’offrais avec tant d’amour. Et dans ces si beaux bouquets, jamais, jamais tu n’as mis d’aubépines, parce que finalement, malgré tout ce que nous avions déjà vécu, tu savais que nous avions encore pleins de choses belles et tendres à vivre. Et c’est pourquoi aujourd’hui, avec l’aide d’une centaurée, je t’offre l’héliotrope de la vie, que toi tu m’as offert il y a déjà des années, sans que je le vois.
Michel, mon amour, je t’aime.
Mais en Mai, j’ai reçu de ta part du muguet, ce qui voulait tout dire. Tu m’aimais, vraiment, avec des cyclamens, des camélias et des capucines par milliers, que tu m’offrais avec tant d’amour. Et dans ces si beaux bouquets, jamais, jamais tu n’as mis d’aubépines, parce que finalement, malgré tout ce que nous avions déjà vécu, tu savais que nous avions encore pleins de choses belles et tendres à vivre. Et c’est pourquoi aujourd’hui, avec l’aide d’une centaurée, je t’offre l’héliotrope de la vie, que toi tu m’as offert il y a déjà des années, sans que je le vois.
Michel, mon amour, je t’aime.