Une bouteille, un pétard
sa y est j’ai abusé
je suis éclaté
seul encore une fois
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
mais bon chez moi c’est pas rare
j’ai plus les clés du bonheur
alors je cherche un passe-partout
manque de pot c’était une erreur
le serrure est devenue un énorme trou
je me rappel de ma première fois
à la recherche de mon ancien moi
et tout les soirs je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
comme toujours je me sens dans le brouillard
les yeux bridé par la fumée et ces effets
la gorge séchée tout en étant abreuver
seul perdu dans mes pensées dérangés
déformés par les années
vingt et un ans de rêve de paradis
pour me retrouver encore une fois ici
sur un toit moisi par la pluie
a remplir mon corps de conneries
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
autours de moi il n’y a que du noir
la nuit, les yeux fermer
en espérant ne pas me réveiller
je me laisse allez a des songes malformé
comme notre manière a tous de penser
sur quoi faire pour avancer
a oublier de se demander pourquoi avancer
cette question on l’a tous oublier
hors des moments ou je suis déchirer
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
mal de crane jusqu’à très tard
réveil au son des hibou
il fait déjà noir quand je me mets debout
horloge interne plus déchirer que moi
les aiguilles ont clamsé avant moi
mais je laisse pas la fatigue me bouffer
je sort toujours plus pour me coucher
maudit comme Prométhée
je sens que mon foi m’a lâcher
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
je ressent encore chaque soir se désespoir
boire seul doit pas vraiment aider
je relâche plus de peine a chaque latte que j’ai tirer
je ressort plus de larme que d’alcool que j’ai tiser
plutôt que d’aller mieux je reste sur mon toit
en oubliant les endroits qu’on verra pas
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
et encore une fois je m’oublierais jusqu’à tard
sa y est j’ai abusé
je suis éclaté
seul encore une fois
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
mais bon chez moi c’est pas rare
j’ai plus les clés du bonheur
alors je cherche un passe-partout
manque de pot c’était une erreur
le serrure est devenue un énorme trou
je me rappel de ma première fois
à la recherche de mon ancien moi
et tout les soirs je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
comme toujours je me sens dans le brouillard
les yeux bridé par la fumée et ces effets
la gorge séchée tout en étant abreuver
seul perdu dans mes pensées dérangés
déformés par les années
vingt et un ans de rêve de paradis
pour me retrouver encore une fois ici
sur un toit moisi par la pluie
a remplir mon corps de conneries
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
autours de moi il n’y a que du noir
la nuit, les yeux fermer
en espérant ne pas me réveiller
je me laisse allez a des songes malformé
comme notre manière a tous de penser
sur quoi faire pour avancer
a oublier de se demander pourquoi avancer
cette question on l’a tous oublier
hors des moments ou je suis déchirer
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
mal de crane jusqu’à très tard
réveil au son des hibou
il fait déjà noir quand je me mets debout
horloge interne plus déchirer que moi
les aiguilles ont clamsé avant moi
mais je laisse pas la fatigue me bouffer
je sort toujours plus pour me coucher
maudit comme Prométhée
je sens que mon foi m’a lâcher
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
je ressent encore chaque soir se désespoir
boire seul doit pas vraiment aider
je relâche plus de peine a chaque latte que j’ai tirer
je ressort plus de larme que d’alcool que j’ai tiser
plutôt que d’aller mieux je reste sur mon toit
en oubliant les endroits qu’on verra pas
et tout les soir je recommence et je me voit
a noyer ma peine sur mon toit
une bouteille, un pétard
et encore une fois je m’oublierais jusqu’à tard
l’ado déchirer
08/08/2019
08/08/2019
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