J'espère trouver la force, un jour, de l'envoyer à son destinataire.
Je rêverais un jour au creux de ma décence
De pouvoir composer au sein d’une région
Une aubade salée peignant l’allégation
Des vents et des marées qui rythment la cadence
De ce décor somptueux aux notes nuancées
Afin d’y entonner cette illustre chanson.
Je l’accompagnerai d’un opalin soupçon
Un bleu de méthylène afin de m’accorder
Aux notoires couleurs de ce génie aqueux
Où les mouettes viendraient par leur chant arbitral
M’annoncer la lueur au reflet clérical
Etoffant ce cosmos pour l’apport mélodieux
D’une euphonie sacrée d’arômes mariniers.
Ces phares singuliers spécifiques du lieu
Ont guidé mon voilier sous les yeux affectueux
D’un animal laiteux à l’esprit imprégné
Sous le labeur d’Hélios d’une oraison solaire
Offrant à ce savant la considération
Amplement mérité de par une ascension
D’un solennel statut pour sa native terre.
Cette emblème poudré de comètes dorées
Fais luire le couffin d’émotives oboles
Sous sa nocturne vue advenant parabole
Du miroir de mes sens de sensibilités
Découvrant chaque jour depuis notre rencontre
Qu’il croît de plus en plus notre reflet psychique.
Il m’a conquis du sort de croiser son éthique
Dans le total hasard aux abords d’une encontre
Et ce qui devait être un simple coup de vent
C’est mué subtilement en sincère liaison.
Possiblement j’aspire au gré de nos passions
A partager la vie dans un calme prudent
De ce philanthrope être aux penchants éclairés
Pour ne pas l’effrayer risquant de l’éloigner.
Jamais je ne voudrais blesser cette entité
Qui témoigne sans fin dans une probité
Ses profonds ressentis en un soin prévenant
Débordant d’attentions à l’attentive écoute
Des doutes et des peurs nourrissant ma déroute
Afin de ne semer de troubles accablants.
A jamais je serais étonnamment surprise
Pour un souffle si pur d’avoir tant d’importance
Qui délicat enduit d’une noble indulgence
Mes songes lumineux d’une élogieuse bise
Qu’est cette inclination bordée d’apologie
De cette sensation que j’avais tant reniée
En me véhiculant sur de fermes piliers
Ces débuts prometteurs pétulant d’empathie.
Ma blancheur tu as su me redonner confiance
En cet assentiment d’un potentiel apport
D’émois de cette ampleur qui m’abattaient à tort
Dès l’aube de ma vie invectivant l’essence
De mes saisissements les changeant en malaise
Que Satan manœuvrait afin d’anéantir
Mon instabilité qui ne peut que me nuire.
Merci Dieu de m’avoir cédé cette Genèse
Et si suite il n’y a sache que tu auras
Réussi à changer le cours de mon récit
En m’ornant d’un bonheur me semblant interdit
Illustré par un saint d’un laineux agrégat
Pour un rêve enneigé au rassurant cocon.
Je fus réconfortée par ses sons lénitifs
Egrenant en canon mes couplets sensitifs
Pour pouvoir je le prie d’éventuelles façons
Gagner son émeraude aux pulsations ponctuées
Afin de m’endormir sous ses élans instruits
Bercée paisiblement dans ce cœur érudit
Dans un refrain cordial à l’étreinte nacrée.
Merci lunaire artiste aux idées inspirées
De m’avoir par ta verve octroyé une chance
De pouvoir te montrer ma tendre déférence
Dans ce pacte amoureux que l’on s’est concédé.
Oiseau Lyre.
Je rêverais un jour au creux de ma décence
De pouvoir composer au sein d’une région
Une aubade salée peignant l’allégation
Des vents et des marées qui rythment la cadence
De ce décor somptueux aux notes nuancées
Afin d’y entonner cette illustre chanson.
Je l’accompagnerai d’un opalin soupçon
Un bleu de méthylène afin de m’accorder
Aux notoires couleurs de ce génie aqueux
Où les mouettes viendraient par leur chant arbitral
M’annoncer la lueur au reflet clérical
Etoffant ce cosmos pour l’apport mélodieux
D’une euphonie sacrée d’arômes mariniers.
Ces phares singuliers spécifiques du lieu
Ont guidé mon voilier sous les yeux affectueux
D’un animal laiteux à l’esprit imprégné
Sous le labeur d’Hélios d’une oraison solaire
Offrant à ce savant la considération
Amplement mérité de par une ascension
D’un solennel statut pour sa native terre.
Cette emblème poudré de comètes dorées
Fais luire le couffin d’émotives oboles
Sous sa nocturne vue advenant parabole
Du miroir de mes sens de sensibilités
Découvrant chaque jour depuis notre rencontre
Qu’il croît de plus en plus notre reflet psychique.
Il m’a conquis du sort de croiser son éthique
Dans le total hasard aux abords d’une encontre
Et ce qui devait être un simple coup de vent
C’est mué subtilement en sincère liaison.
Possiblement j’aspire au gré de nos passions
A partager la vie dans un calme prudent
De ce philanthrope être aux penchants éclairés
Pour ne pas l’effrayer risquant de l’éloigner.
Jamais je ne voudrais blesser cette entité
Qui témoigne sans fin dans une probité
Ses profonds ressentis en un soin prévenant
Débordant d’attentions à l’attentive écoute
Des doutes et des peurs nourrissant ma déroute
Afin de ne semer de troubles accablants.
A jamais je serais étonnamment surprise
Pour un souffle si pur d’avoir tant d’importance
Qui délicat enduit d’une noble indulgence
Mes songes lumineux d’une élogieuse bise
Qu’est cette inclination bordée d’apologie
De cette sensation que j’avais tant reniée
En me véhiculant sur de fermes piliers
Ces débuts prometteurs pétulant d’empathie.
Ma blancheur tu as su me redonner confiance
En cet assentiment d’un potentiel apport
D’émois de cette ampleur qui m’abattaient à tort
Dès l’aube de ma vie invectivant l’essence
De mes saisissements les changeant en malaise
Que Satan manœuvrait afin d’anéantir
Mon instabilité qui ne peut que me nuire.
Merci Dieu de m’avoir cédé cette Genèse
Et si suite il n’y a sache que tu auras
Réussi à changer le cours de mon récit
En m’ornant d’un bonheur me semblant interdit
Illustré par un saint d’un laineux agrégat
Pour un rêve enneigé au rassurant cocon.
Je fus réconfortée par ses sons lénitifs
Egrenant en canon mes couplets sensitifs
Pour pouvoir je le prie d’éventuelles façons
Gagner son émeraude aux pulsations ponctuées
Afin de m’endormir sous ses élans instruits
Bercée paisiblement dans ce cœur érudit
Dans un refrain cordial à l’étreinte nacrée.
Merci lunaire artiste aux idées inspirées
De m’avoir par ta verve octroyé une chance
De pouvoir te montrer ma tendre déférence
Dans ce pacte amoureux que l’on s’est concédé.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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