UN RÊVE D’UNE PLUME
Je m’enferme chaque seconde,
De plus en plus dans mon monde,
Tant de bouleversements dans ma vie,
Que je n’arrive plus à la suivre aujourd’hui,
Comment est-il possible,
Tout en ayant conscience,
De perdre tant de confiance ?
Mais d’en reprendre semple impossible !
J’ai bien des projets,
Loin d’être laids,
Or ces maux m’assommant, me consument,
Ainsi se dépose l’écume de ma plume.
J’essaye de prendre du repos,
Or comment faire sans eau,
Pour noyer mon chagrin.
Si pesant ! Si éternel ! Tellement malin !
Je laisse vagabonder,
Ces lettres, délicatement posées,
Je me laisse entrainer,
Dans cet univers enchanté,
Si seulement je pouvais l’embrasser,
Cette fée à l’instant croisée,
Pour lui confier ma tristesse,
Afin qu’elle me laisse des caresses,
Subitement,
Le vent, tournant,
Le vent, changeant,
Levant, nos yeux,
Le temps d’un instant,
On se découvre en ce lieu,
On se rapproche, on s’attire,
Plus rien ne me fera souffrir...
Ludovic IZAMBARD
Le 23 Janvier 2013
De plus en plus dans mon monde,
Tant de bouleversements dans ma vie,
Que je n’arrive plus à la suivre aujourd’hui,
Comment est-il possible,
Tout en ayant conscience,
De perdre tant de confiance ?
Mais d’en reprendre semple impossible !
J’ai bien des projets,
Loin d’être laids,
Or ces maux m’assommant, me consument,
Ainsi se dépose l’écume de ma plume.
J’essaye de prendre du repos,
Or comment faire sans eau,
Pour noyer mon chagrin.
Si pesant ! Si éternel ! Tellement malin !
Je laisse vagabonder,
Ces lettres, délicatement posées,
Je me laisse entrainer,
Dans cet univers enchanté,
Si seulement je pouvais l’embrasser,
Cette fée à l’instant croisée,
Pour lui confier ma tristesse,
Afin qu’elle me laisse des caresses,
Subitement,
Le vent, tournant,
Le vent, changeant,
Levant, nos yeux,
Le temps d’un instant,
On se découvre en ce lieu,
On se rapproche, on s’attire,
Plus rien ne me fera souffrir...
Ludovic IZAMBARD
Le 23 Janvier 2013