Un peuple qui se soulève.
Le temps se pose
sur la sérénité.
La plume écrit une prose
sur une page blanche bafouée.
Alors je danse,
dans l’océan de la souffrance.
Le soleil noir s’efface
sur la médiocrité
d’une note blanche qui s’enlace
autour d’une gamme déjantée.
Alors je chante,
sur une l’île qui enchante.
Un espoir s’évade,
l’instant d’un oubli.
Là-bas, se dresse une barricade
pour écraser un monde établi.
Alors je rêve,
d’un peuple qui se soulève.
Loïc ROUSSELOT
Le temps se pose
sur la sérénité.
La plume écrit une prose
sur une page blanche bafouée.
Alors je danse,
dans l’océan de la souffrance.
Le soleil noir s’efface
sur la médiocrité
d’une note blanche qui s’enlace
autour d’une gamme déjantée.
Alors je chante,
sur une l’île qui enchante.
Un espoir s’évade,
l’instant d’un oubli.
Là-bas, se dresse une barricade
pour écraser un monde établi.
Alors je rêve,
d’un peuple qui se soulève.
Loïc ROUSSELOT