Je ressens dans mon âme une soudaine alarme
L'envie de composer revient pour me hanter
De lettres éperdues aux teintes de mes larmes
En apposant ma plume invoquant mon phrasé
Sur la feuille en papier afin que ce dessine
Un hommage remplie de pointes d'émotions.
J'aimerai de nouveau que sa voix s'illumine
Cette douce cantate accordant les violons
De mon sensible esprit pour que puisse reluire
Ce rêveur mélomane unissant avec grâce
Son doigté averti nous faisant réfléchir.
Il sait manier la corde afin que s'entrelace
Une pluie engagée de discours déférents
Sous un timbre vibrant parsemant ses fraîcheurs
Pour pouvoir m'évader dans un monde ascendant
Où j’effleure le cœur de ce prêtre chanteur.
Ce poète éclairé m'a entrouvert la voie
Pour que je continue en suivant ses empreintes
A poursuivre sa route où se mêle la soie
D’un vent de vocalise aux portes d’une étreinte
Pour une irradiation d’inspirante édiction
Où je puise le sort d’affilier mes refrains.
Je n’ai jamais eu peur sous cette salvation
De dédier mes écrits dès l’aube du matin
A cette ombre ajustée d’une acoustique idylle
Animant sa guitare en une ondée sonore.
Cet apôtre manie d’une force tranquille
Notre langue subtile en grain de métaphores
Extrayant dans son art la beauté du dialecte
Insufflant à nos ouïes des pigments de lumière.
Il cultive sa fleur libérant des insectes
Des lucioles sensées en entonnant ses vers
Pour nous communiquer ses probants témoignages
D’une verve savante éprit de sentiments
Afin de nous offrir ce délectant breuvage
Pailleté de saphir sous son œil bienveillant.
Il est auteur des mœurs et des valeurs fanées
L’humaniste porteur qui absous le silence
En prêchant sans mépris l’obscure vérité
Pour tenter d’inviter par ses sons d’éloquences
Ceux pour qui le courroux se rattache à la crainte
D’essayer d’évoquer leurs idées séraphiques.
Paternel parolier moine des voix éteintes
Ce philanthrope exhibe en donneur platonique
Ces propos dissolus pour soigner notre Terre
De ces âmes perdues tutoyant la candeur
Ces prémices de vie arborant la misère
Du violent héritage en proie à la torpeur
Que leurs procréateurs ont issu de leurs faits.
Ce philosophe altruiste en ses mots avisés
Aimerait irriguer par ses cantiques mets
Cette bleutée astrale afin de ressourcer
Ces terrains défraîchis par sa prose émotive
En contant ses pensées par ces perles lettrées.
Ses honneurs militants embellissent ma rive
Effaçant le brouillard pour que cette coulée
Ravive la chaleur qui exhale la brume
Dans ce fleuve m’alliant à ce rayon de Lune
En saupoudrant mes mains d’un prisme qui parfume
De multiples couleurs notre mine commune.
Cet ange restera mon guide spirituel
Et je l'en remercie par cette mélopée.
J’ornerai sa mémoire en suivant l’étincelle
De réceptivité qu’il a fait émaner
Pour tenter d'apaiser nos sentiments moroses
Par son souffle touchant d’oraisons liturgiques
Nous sensibilisant à de cruciales causes
Pour nous encourager à redorer l’éthique.
Oiseau Lyre.
L'envie de composer revient pour me hanter
De lettres éperdues aux teintes de mes larmes
En apposant ma plume invoquant mon phrasé
Sur la feuille en papier afin que ce dessine
Un hommage remplie de pointes d'émotions.
J'aimerai de nouveau que sa voix s'illumine
Cette douce cantate accordant les violons
De mon sensible esprit pour que puisse reluire
Ce rêveur mélomane unissant avec grâce
Son doigté averti nous faisant réfléchir.
Il sait manier la corde afin que s'entrelace
Une pluie engagée de discours déférents
Sous un timbre vibrant parsemant ses fraîcheurs
Pour pouvoir m'évader dans un monde ascendant
Où j’effleure le cœur de ce prêtre chanteur.
Ce poète éclairé m'a entrouvert la voie
Pour que je continue en suivant ses empreintes
A poursuivre sa route où se mêle la soie
D’un vent de vocalise aux portes d’une étreinte
Pour une irradiation d’inspirante édiction
Où je puise le sort d’affilier mes refrains.
Je n’ai jamais eu peur sous cette salvation
De dédier mes écrits dès l’aube du matin
A cette ombre ajustée d’une acoustique idylle
Animant sa guitare en une ondée sonore.
Cet apôtre manie d’une force tranquille
Notre langue subtile en grain de métaphores
Extrayant dans son art la beauté du dialecte
Insufflant à nos ouïes des pigments de lumière.
Il cultive sa fleur libérant des insectes
Des lucioles sensées en entonnant ses vers
Pour nous communiquer ses probants témoignages
D’une verve savante éprit de sentiments
Afin de nous offrir ce délectant breuvage
Pailleté de saphir sous son œil bienveillant.
Il est auteur des mœurs et des valeurs fanées
L’humaniste porteur qui absous le silence
En prêchant sans mépris l’obscure vérité
Pour tenter d’inviter par ses sons d’éloquences
Ceux pour qui le courroux se rattache à la crainte
D’essayer d’évoquer leurs idées séraphiques.
Paternel parolier moine des voix éteintes
Ce philanthrope exhibe en donneur platonique
Ces propos dissolus pour soigner notre Terre
De ces âmes perdues tutoyant la candeur
Ces prémices de vie arborant la misère
Du violent héritage en proie à la torpeur
Que leurs procréateurs ont issu de leurs faits.
Ce philosophe altruiste en ses mots avisés
Aimerait irriguer par ses cantiques mets
Cette bleutée astrale afin de ressourcer
Ces terrains défraîchis par sa prose émotive
En contant ses pensées par ces perles lettrées.
Ses honneurs militants embellissent ma rive
Effaçant le brouillard pour que cette coulée
Ravive la chaleur qui exhale la brume
Dans ce fleuve m’alliant à ce rayon de Lune
En saupoudrant mes mains d’un prisme qui parfume
De multiples couleurs notre mine commune.
Cet ange restera mon guide spirituel
Et je l'en remercie par cette mélopée.
J’ornerai sa mémoire en suivant l’étincelle
De réceptivité qu’il a fait émaner
Pour tenter d'apaiser nos sentiments moroses
Par son souffle touchant d’oraisons liturgiques
Nous sensibilisant à de cruciales causes
Pour nous encourager à redorer l’éthique.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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