Tel un poison j'ai un mal qui me ronge,
Comme si j'étais dans une prison de mensonge,
Seule, je tremble et j'ai froid,
Rien ne m'arrête à part toi.
Je pense à toi,
C'est le manque de toi.
De la chaleur de ton corps,
Dans les draps de soie,
De la douceur de ta peau,
Au toucher de mes doigts.
De tes mains incertaines,
Qui enlèvent mes chaînes,
De tes baisers sensuels,
Dans les coins des ruelles.
C'est le manque de toi,
De tes bras qui me serrent,
Comme un cristal de verre,
De tes yeux qui pétillent
Au creux de la nuit,
De sourires complices,
Remplis de fous rires incompris,
De ton amour infini,
Que j'espère pour la vie.
C'est le manque de toi.
Comme si j'étais dans une prison de mensonge,
Seule, je tremble et j'ai froid,
Rien ne m'arrête à part toi.
Je pense à toi,
C'est le manque de toi.
De la chaleur de ton corps,
Dans les draps de soie,
De la douceur de ta peau,
Au toucher de mes doigts.
De tes mains incertaines,
Qui enlèvent mes chaînes,
De tes baisers sensuels,
Dans les coins des ruelles.
C'est le manque de toi,
De tes bras qui me serrent,
Comme un cristal de verre,
De tes yeux qui pétillent
Au creux de la nuit,
De sourires complices,
Remplis de fous rires incompris,
De ton amour infini,
Que j'espère pour la vie.
C'est le manque de toi.