Sous l'ombre de cet arbre défeuillé
Qui cache les brasiers du soleil éclairant,
Et sur un rocher, je suis assise écoeurée,
Contemplant un vaisseau d'oiseaux planés.
En endurant les souffles du vent
Qui se précipitent vers les cimes des monts.
Etonnante d'avoir laissé les parasites
Engrainer une grappe de vigne phyloxérée.
Sous la chaleur de ce soleil dormant,
Et devant cette grisaille spumeuse
Qui gribouille des angles onduleuses,
Je me cache sous les branches entrelacées,
Qui peignent mes cheveux aspergés
Avec affection et une telle vélocité.
Qui cache les brasiers du soleil éclairant,
Et sur un rocher, je suis assise écoeurée,
Contemplant un vaisseau d'oiseaux planés.
En endurant les souffles du vent
Qui se précipitent vers les cimes des monts.
Etonnante d'avoir laissé les parasites
Engrainer une grappe de vigne phyloxérée.
Sous la chaleur de ce soleil dormant,
Et devant cette grisaille spumeuse
Qui gribouille des angles onduleuses,
Je me cache sous les branches entrelacées,
Qui peignent mes cheveux aspergés
Avec affection et une telle vélocité.