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Un faux silence d’une nuit gémissante.

#1

Le début d’une histoire, où je pris ta main pour rejoindre notre destin...
Entre le mélange des saints... et celui de plusieurs refrains...
Les mains à s’écarter, glissant entre tes lèvres mises à nu...
Charmé de tendre mots glissant le long de ton dos...
Aux mains glissantes sur la douceur de tes hanches...
Laissant faufiler le bout des doigts, sous un voile de mystère en soie...
Dénouer de délicatesse, cette petite chose rosâtre au petit gout d’émoi...
Se mettre à genoux, les bras tendus à caresser ce qui te rend fou...
Sous tes gestes de légèreté glissant le long de mon cou...
Au petit plaisir d’une langue, coulant entre ma peau frissonnante...
A saisir ton corps de papillon, décrochant de caresse,
Le plaisir d’un nounours dentelé de rouge et noir... avec délicatesse...
Prêt à sentir la douceur de tes petites rondeurs exquises...
Qui me font envie, de goûter leurs nectars de sucrerie...
Avec une pointe de gémissement en silence humide...
Sous une langue caressant par petit coup de passion... infime
Tu te laisses allonger à toucher la beauté du mal, du bout des lèvres...
Laissant s’échapper la douceur d’une nature de framboise délicate...
Effleuré d’un petit gout de gourmandise, revenant contre ton corps...
Les mains descendantes sur la courbe de ton dos, et finissant de te dévoiler...
La pomme d’Adam, prêt à croquer sur son Ève... le plaisir d’un miel envouté...
Léchant de son intérieur la subtilité, d’une finesse de larme...
Séchée par la joie du ciel, qui commence à couvrir la sensualité du bonheur recherché...
De tes mains, caressant le membre du plaisir attendu, jusqu’au bout de la nuit...
Les jambes entremêlées dans le vent s’inclinant au creux des murmures...
À pénétrer sous la coupe d’une pomme, tranché du mal au plaisir palpitant
Des va, profondément velouté en attention des viens plus langoureux...
Mouvementé de ton corps chaud, saisit entre mes doigts la pointe de ta sérénité...
À vouloir dépasser l’art du chiffre sept, d’une passion coulante demandant d’accélérer le temps...
Se sentant envolé aux anges, de cette nuit qui fut si courte... sur une petite veine d’une vie future...
Enlacé entre tes bras chantant tout bas, un mot secret...