On les dit « vielles » toutes ces femmes
Qui à 40 ans, trouvent encore la flamme
De vouloir un enfant de l’homme qui inonde leurs nuits
De soupirs, de chuchotements dans l’alcôve de leur lit.
Mesdames, quelle honte, faire un enfant de « vieux »
Imaginez vous à la rentrée de classe, sous un ciel pluvieux
A coté de toutes ses jeunes mères pressées d’aller travailler
Et laisser le petit à la nourrice dès la fin de la journée
Rendez vous compte mesdames, ce n’est plus la saison
La fatigue, la patience, le fossé des générations
Comment faisaient nos grands-mères qui paraissaient âgées
A peine la trentaine légèrement entamée.
Vous voulez rester jeunes, être tendance
Mère à quarante ans, c’est dans la mouvance
Egoïstes, oui vous êtes égoïstes de ne pas penser
A ce petit être qui n’a rien demandé.
C’est clair, il vaut mieux avoir une vingtaine d’années
Et ne pas avoir du temps à lui consacrer
Car la vie professionnelle, il ne faut pas la négliger
Garderie, crèche, tout de suite il faut s’acclimater.
Sans cervelle, ces femmes de quarante ans
Qui veulent rester jeune éternellement
Non mesdames, ce n’est pas en faisant un enfant
Que l’on arrête le temps………..
A l’age d’être grand-mère, c’est indécent
Accoucher à l’age des premiers cheveux blancs
Alors que la vie vous échappe et c’est la dernière fois
Qu’être mère vous tend les bras.
Çà me fait sourire, çà me fait bondir
Quoi de plus beau que la maturité à offrir
Apprendre à un enfant pas après pas
Les choses essentielles, qu’à 20 ans, on ne connaît pas.
Alors mesdames de quarante ans, laisser les vous rire au nez
De toute manière ce ne sont pas les autres qui vont le bercer
Cet enfant réfléchi et désiré par un couple tendrement uni
Qui sauront l’armer pour affronter la vie.
A quarante ans et plus, n’en déplaisent aux plus aigries
Celles qui ne croient plus en l’amour d’une nouvelle vie
N’en déplaisent aux jeunettes qui ne savent pas aujourd’hui
Que dans vingt ans elles changeront peut être d’avis.
Mesdames de quarante ans, allez en paix, faites don de cet enfant
A un monde qui a besoin de parents intelligents
Pour inculquer à nos enfants le respect de la terre, la compassion
Alors que d’autres se noieront dans la compétition.
Je dédie ce poème à toutes ces femmes à qui l’ont fait douter
C’est à vous seules, mesdames de décider,
Car bien long sera ensuite venu le temps de regretter
De ne pas avoir osé braver les jugements de cette société.
Isabelle
Qui à 40 ans, trouvent encore la flamme
De vouloir un enfant de l’homme qui inonde leurs nuits
De soupirs, de chuchotements dans l’alcôve de leur lit.
Mesdames, quelle honte, faire un enfant de « vieux »
Imaginez vous à la rentrée de classe, sous un ciel pluvieux
A coté de toutes ses jeunes mères pressées d’aller travailler
Et laisser le petit à la nourrice dès la fin de la journée
Rendez vous compte mesdames, ce n’est plus la saison
La fatigue, la patience, le fossé des générations
Comment faisaient nos grands-mères qui paraissaient âgées
A peine la trentaine légèrement entamée.
Vous voulez rester jeunes, être tendance
Mère à quarante ans, c’est dans la mouvance
Egoïstes, oui vous êtes égoïstes de ne pas penser
A ce petit être qui n’a rien demandé.
C’est clair, il vaut mieux avoir une vingtaine d’années
Et ne pas avoir du temps à lui consacrer
Car la vie professionnelle, il ne faut pas la négliger
Garderie, crèche, tout de suite il faut s’acclimater.
Sans cervelle, ces femmes de quarante ans
Qui veulent rester jeune éternellement
Non mesdames, ce n’est pas en faisant un enfant
Que l’on arrête le temps………..
A l’age d’être grand-mère, c’est indécent
Accoucher à l’age des premiers cheveux blancs
Alors que la vie vous échappe et c’est la dernière fois
Qu’être mère vous tend les bras.
Çà me fait sourire, çà me fait bondir
Quoi de plus beau que la maturité à offrir
Apprendre à un enfant pas après pas
Les choses essentielles, qu’à 20 ans, on ne connaît pas.
Alors mesdames de quarante ans, laisser les vous rire au nez
De toute manière ce ne sont pas les autres qui vont le bercer
Cet enfant réfléchi et désiré par un couple tendrement uni
Qui sauront l’armer pour affronter la vie.
A quarante ans et plus, n’en déplaisent aux plus aigries
Celles qui ne croient plus en l’amour d’une nouvelle vie
N’en déplaisent aux jeunettes qui ne savent pas aujourd’hui
Que dans vingt ans elles changeront peut être d’avis.
Mesdames de quarante ans, allez en paix, faites don de cet enfant
A un monde qui a besoin de parents intelligents
Pour inculquer à nos enfants le respect de la terre, la compassion
Alors que d’autres se noieront dans la compétition.
Je dédie ce poème à toutes ces femmes à qui l’ont fait douter
C’est à vous seules, mesdames de décider,
Car bien long sera ensuite venu le temps de regretter
De ne pas avoir osé braver les jugements de cette société.
Isabelle