Merci AnnaVart et Cristou pour ce superbe trio et ce beau moment de poésie...
Endormi dans ce lourd brouillard fuyant,
Tu divagues entre songes et cauchemars.
T’éloignant et t’égare dans le désespoir;
Avec pour seul espoir, un unique indifférent…
Des nuits sans sommeil aux claires de Lune
Passent trop lentement avec les douleurs;
Rien qui ne rime pour l'espoir d'enjambeur;
L'esprit est occupé par l'espace en dune.
Toi homme de foi et de joie!
Tu n’as plus de choix,
Réveille-toi, lève-toi,
Redresse-toi et bats-toi!
Toi, femme respectueuse et battante!
Ne penche pas la tête, reste souriante!
Avance! Embrasse le Soleil levant,
Pêche avec ton sourire sur le Printemps!
Relève-toi et encore ne fuis pas!
Éveille-toi, fais leur croire,
Que Tu n’as plus de choix,
Toi, jadis homme sans lois, ni foi!
N'estompe pas ce que tu as récolté déjà;
Garde fidèlement dans ton cœur et âme
Dans la beauté de saisons bien protégées
Tes profonds sentiments et ivres charmes.
Souffrir aujourd’hui de douces larmes, tu te proclames
Voyages entre divers vieux mensonges et des vacarmes.
Regard fuyant, t’efface de nulles sourdes fanfares.
Dans le but de te soulager, enfin, pour ne plus y croire…
Dure à découvrir les mensonges de nuits;
Qui viennent s'installer dans plis de ce lit;
Larmes ruissellent en mouillant l'oreiller,
Impossible à haute voix de rien n'exprimer.
Tu n’es plus que l’image de toi-même…
Où se cache ton ombre? Dans les décombres de ta chambre?
Entre verres d’alcools et mégots à moitié fumés
J’enjambe et ça se sent, que fais-tu? Que deviens-tu bordel?
Au cours des années ta souffrance multipliée,
Rien ne t’a changé! Juste, devenue plus sage,
Mais dans ton miroir qu'un reflet qui change
Qui montre ta grâce et ta candeur effleurée.
Crois en toi, écoute-toi,
Suis ta voie, libère-toi,
Reconstruis tes rêves,
Achève cette trêve…
Continue de te battre comme d'habitude!
Ne lâche pas ton espoir, donne la main,
A ceux qui te comprennent, ne sois pas rude,
Avec personne! Admire la splendeur du Printemps!
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