J'entends un cri qui se disperse
A l'encontre d'une averse.
Vers les côtes de l'univers,
Il se penche vers le désert
Et sur les faîtes les plus hautes.
La verdure couvre l'espace
Dont les huttes forment l'impasse.
Aspirant un regret et un délire
Qui rassérènent mon âme qui se déchire,
Entre le froid glacial sur les monts
El la chaleur de mon coeur passionnant.
Les arbres, flotant dans la verdure
En cherchant l'élan vers l'infini.
Ces feuilles, commencent à se dissoudre
A cause du vent qui souffle.
Les branches, cherchent en entrelaçant
A toucher un espoir innocent,
Qui comble le vide de l'horizon.
Vers ces cieux, j'envoie mes paroles saillantes.
Seule, je crie en gémissant
Pour graver les voeux de l'immortalité.
A l'encontre d'une averse.
Vers les côtes de l'univers,
Il se penche vers le désert
Et sur les faîtes les plus hautes.
La verdure couvre l'espace
Dont les huttes forment l'impasse.
Aspirant un regret et un délire
Qui rassérènent mon âme qui se déchire,
Entre le froid glacial sur les monts
El la chaleur de mon coeur passionnant.
Les arbres, flotant dans la verdure
En cherchant l'élan vers l'infini.
Ces feuilles, commencent à se dissoudre
A cause du vent qui souffle.
Les branches, cherchent en entrelaçant
A toucher un espoir innocent,
Qui comble le vide de l'horizon.
Vers ces cieux, j'envoie mes paroles saillantes.
Seule, je crie en gémissant
Pour graver les voeux de l'immortalité.