Un coeur ouvert par des couteaux tirés
Ses cheveux en bataille , ensanglanté
Un coeur blessé ,recrocquevillé ,caché
Pendant des heures entiéres, muet
Dans un coin délabré d'un monastére
Violé par une folle folie meurtriére
Lui qui se sentait si protégé , guilleret
D'une retraite tant espérée , partagée
Un coeur ouvert lapidé par ton passé
Hurlant , braillant..Qu 'avait-il donc fait
Ce coeur qui renaissait dans la complicité
il espérait ton vent d'étoiles , tes contrées
Tes prairies, de tes émois de soleil , il rêvait
Léger et chaleureux de tes îles sous l'alizé
Epris d'horizons, ,il a trouvé l'éclair qui fracasse
Une aigre grimace ,la peur ,les frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang s' écoulaient
Comment un coeur naufragé peut-il lutter
L'Hémorragie l'a tué, endeuillé par TON destin figé
Je te légue ,receuille je te prie, en marge de la poésie
Sur le cahier de mes grises nuits, ces lignes d' espoir
Destinées,dessinées à égrener tes soucis ravageurs
A la gloire de tes jours sur un sol aux chairs apaisées
Que ton crépuscule te raméne vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de ma flamme ,le mystére de son rayon couchant
Ce savoir ancestral , fasse que tu retouches du doigt le firmament
Un coeur échoué lentement naufrageant....!!
Ses cheveux en bataille , ensanglanté
Un coeur blessé ,recrocquevillé ,caché
Pendant des heures entiéres, muet
Dans un coin délabré d'un monastére
Violé par une folle folie meurtriére
Lui qui se sentait si protégé , guilleret
D'une retraite tant espérée , partagée
Un coeur ouvert lapidé par ton passé
Hurlant , braillant..Qu 'avait-il donc fait
Ce coeur qui renaissait dans la complicité
il espérait ton vent d'étoiles , tes contrées
Tes prairies, de tes émois de soleil , il rêvait
Léger et chaleureux de tes îles sous l'alizé
Epris d'horizons, ,il a trouvé l'éclair qui fracasse
Une aigre grimace ,la peur ,les frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang s' écoulaient
Comment un coeur naufragé peut-il lutter
L'Hémorragie l'a tué, endeuillé par TON destin figé
Je te légue ,receuille je te prie, en marge de la poésie
Sur le cahier de mes grises nuits, ces lignes d' espoir
Destinées,dessinées à égrener tes soucis ravageurs
A la gloire de tes jours sur un sol aux chairs apaisées
Que ton crépuscule te raméne vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de ma flamme ,le mystére de son rayon couchant
Ce savoir ancestral , fasse que tu retouches du doigt le firmament
Un coeur échoué lentement naufrageant....!!