Un jour, partie pour cueillir des fleurs,
Je devais rêver mais,
Je crois avoir vu l'ange du bonheur.
Il me souriait,
Chantant et dansant,
Oublié du malheur,
Si vivant et riant,
Blottit dans mon coeur.
Sans un bruit, il est parti,
Me tournant le dos,
Je crois l'avoir suivit,
Sans un mot.
Il a marché trop longtemps,
Il a marché une éternité,
Je l'ai suivi patiemment,
Puis il s'est arrêté.
Il s'est tourné face à moi,
Pourtant je ne me souviens de son visage,
Je le regardais sans que je le vois.
Maintenant calme et sage,
Il s'est penché,
Et me volant un baisé à la dérobée,
Il a déclaré,
" Te voilà enfin arrivée... ".
Alors je me suis relevée dans ce champ de fleurs,
Mais si une entrevue aussi brève,
M'avait laissée aux lèvres cette si douce saveur,
La question alors s'impose, est-ce vraiment un rêve ?
Je devais rêver mais,
Je crois avoir vu l'ange du bonheur.
Il me souriait,
Chantant et dansant,
Oublié du malheur,
Si vivant et riant,
Blottit dans mon coeur.
Sans un bruit, il est parti,
Me tournant le dos,
Je crois l'avoir suivit,
Sans un mot.
Il a marché trop longtemps,
Il a marché une éternité,
Je l'ai suivi patiemment,
Puis il s'est arrêté.
Il s'est tourné face à moi,
Pourtant je ne me souviens de son visage,
Je le regardais sans que je le vois.
Maintenant calme et sage,
Il s'est penché,
Et me volant un baisé à la dérobée,
Il a déclaré,
" Te voilà enfin arrivée... ".
Alors je me suis relevée dans ce champ de fleurs,
Mais si une entrevue aussi brève,
M'avait laissée aux lèvres cette si douce saveur,
La question alors s'impose, est-ce vraiment un rêve ?