UN ANGE CONVOITE
Je sais que je la trouverai,
Je saurai que ce sera cette déesse,
Or m’aimera-t-elle à travers mes caresses ?
Que pensera-t-elle quand je la verrai ?
Je ne sais pas quel est son visage,
Sera-t-elle sage, ou serait-ce un mirage ?
Je traverse ce désert de solitude en l’attendant,
Car j’y crois, elle m’obsède à chaque instant !
Je la vois sans cesse dans ce paysage,
Est-ce grave d’espérer cet ange, à mon âge ?
Est-ce interdit de croire au conte de fée ?
Je ne peux pas m’expliquer, malgré mon passé.
Comment construire mon futur ?
Je l’imagine soudain à toute allure,
Tel un avion de chasse j’évacue mon blase,
Et je l’enferme dans un simple vase.
J’ai ce désir d’écrire avec elle,
Une nouvelle romance à merveilles,
L’envie de créer un nouveau paradis,
Envahie de larmes de la nuit !
Peu importe quand, peu importe où,
Je la suivrai jusqu’au bout du monde,
Je penserai à elle à chaque seconde,
Car je ressens, tel un loup,
Les ondes positives qu’elle m’offrent,
Alors je m’échappe de mon coffre,
Afin de lui donner tant de tendresse,
Emplie de délicatesse, sans tristesse…
Je saurai que ce sera cette déesse,
Or m’aimera-t-elle à travers mes caresses ?
Que pensera-t-elle quand je la verrai ?
Je ne sais pas quel est son visage,
Sera-t-elle sage, ou serait-ce un mirage ?
Je traverse ce désert de solitude en l’attendant,
Car j’y crois, elle m’obsède à chaque instant !
Je la vois sans cesse dans ce paysage,
Est-ce grave d’espérer cet ange, à mon âge ?
Est-ce interdit de croire au conte de fée ?
Je ne peux pas m’expliquer, malgré mon passé.
Comment construire mon futur ?
Je l’imagine soudain à toute allure,
Tel un avion de chasse j’évacue mon blase,
Et je l’enferme dans un simple vase.
J’ai ce désir d’écrire avec elle,
Une nouvelle romance à merveilles,
L’envie de créer un nouveau paradis,
Envahie de larmes de la nuit !
Peu importe quand, peu importe où,
Je la suivrai jusqu’au bout du monde,
Je penserai à elle à chaque seconde,
Car je ressens, tel un loup,
Les ondes positives qu’elle m’offrent,
Alors je m’échappe de mon coffre,
Afin de lui donner tant de tendresse,
Emplie de délicatesse, sans tristesse…
Ludovic IZAMBARD
Le 17/10/2012
Le 17/10/2012