Quand j’ai fermé la porte du trente et un décembre,
J’ai voulu délaisser derrière moi, toujours,
Les décevantes attentes de mes dernières amours,
Mes nuits au cœur fané, mes années sous la cendre.
Mais j’ai vu scintiller de longs rais de lumière,
Qui s’infiltraient, joyeux, par les fentes du bois ;
J’ai reconnu mes rires, mes bonheurs et mes joies,
Qui, en milliers de signes, s'y mêlaient sans mystère.
J’ai cueillis par brassées tous ces doux souvenirs,
Et j’ai senti en moi assez d’espoir frémir,
Pour des adieux sereins à la défunte année.
J’ai tout de suite alors ouvert à deux battants,
Sous le gui et le houx, la porte de l’entrée,
Au nouvel an chargé de promesses et d’allants.
J’ai voulu délaisser derrière moi, toujours,
Les décevantes attentes de mes dernières amours,
Mes nuits au cœur fané, mes années sous la cendre.
Mais j’ai vu scintiller de longs rais de lumière,
Qui s’infiltraient, joyeux, par les fentes du bois ;
J’ai reconnu mes rires, mes bonheurs et mes joies,
Qui, en milliers de signes, s'y mêlaient sans mystère.
J’ai cueillis par brassées tous ces doux souvenirs,
Et j’ai senti en moi assez d’espoir frémir,
Pour des adieux sereins à la défunte année.
J’ai tout de suite alors ouvert à deux battants,
Sous le gui et le houx, la porte de l’entrée,
Au nouvel an chargé de promesses et d’allants.