C'étain rude exercice ô quel je doigts m'astreindre
Oubliant laid préceptes à prix dents nos dictées
Ma plume assez valeurs aile adulées enfreindre
Meurtrissant ce franc sait qu'elle est mais respecter.
Elle sans vol ainsi où nul nœud peu la teindre
Ni Hugo nid pré vert et l'heurt vers exaltés
Tel un chœur lit béret quine a plu rien à craindre.
Fleuri l'ai-je de mots jeux me fée funambule
Aimant jongler cent faims d'adjectifs an adverbes
Ivre de sons pré non queue j'écrie Majuscule
Rêvant d'eux conjuguer eau futur toussé verbes
Et de me conçu mes assez feux qui me brûlent.
Un à un mais et moi se noient dans l'eau céans
Nul ne cesse ils vivront ode la du nez en.
Comme l’a lu ni ment ce en mes nuits deux rêveur
Eclaire un boue de ciel sous lave ou t’éplorée
Née bulleuse d’eau pâle anse et yeux je d’eux meure
Tank ils me sous riz ronge ne sot rai pleurer.
File tout jour le tant comme levant se paire
Allo ré dû printemps par deux lacets remparts
Un ultime con bas dûment tôt de lit vert
Ton banc saoul les assauts daim soleil revend char
Et prenant hâter moins d'yeux et enjeux du ciel
Sans faute je lui crie tout mon amour pour elle...
PS : A lire à voix haute, mais selon mon correcteur orthographique, aucune faute d’orthographe n’a été détectée…
Oubliant laid préceptes à prix dents nos dictées
Ma plume assez valeurs aile adulées enfreindre
Meurtrissant ce franc sait qu'elle est mais respecter.
Elle sans vol ainsi où nul nœud peu la teindre
Ni Hugo nid pré vert et l'heurt vers exaltés
Tel un chœur lit béret quine a plu rien à craindre.
Fleuri l'ai-je de mots jeux me fée funambule
Aimant jongler cent faims d'adjectifs an adverbes
Ivre de sons pré non queue j'écrie Majuscule
Rêvant d'eux conjuguer eau futur toussé verbes
Et de me conçu mes assez feux qui me brûlent.
Un à un mais et moi se noient dans l'eau céans
Nul ne cesse ils vivront ode la du nez en.
Comme l’a lu ni ment ce en mes nuits deux rêveur
Eclaire un boue de ciel sous lave ou t’éplorée
Née bulleuse d’eau pâle anse et yeux je d’eux meure
Tank ils me sous riz ronge ne sot rai pleurer.
File tout jour le tant comme levant se paire
Allo ré dû printemps par deux lacets remparts
Un ultime con bas dûment tôt de lit vert
Ton banc saoul les assauts daim soleil revend char
Et prenant hâter moins d'yeux et enjeux du ciel
Sans faute je lui crie tout mon amour pour elle...
PS : A lire à voix haute, mais selon mon correcteur orthographique, aucune faute d’orthographe n’a été détectée…