Quand le pire vous a pris le meilleur
Il ne reste pas toujours que des pleurs,
Passer le choc, se tissent dans ma tête
Les fils d’une vie devenue désuète.
Au travers d’un regard dans le miroir
Sournoises rides prennent le pouvoir,
Tandis qu’à l’opposé je vois ton image
Dans le temps, se statufier sans dommage.
D’un parfum renait souvent le passé
L’ivresse d’un flacon un peu cassé,
Je ne sais plus que penser, mon cher tendre
Je consacre tous mes jours à t’attendre.
Où sont passés nos ardents rendez-vous ?
Devrais-je maintenant te dire vous ?
Au bal des amours infirmes, je pense
Tu me retiendras la dernière danse.
Puis un jour la valise dans la main
Enfin, j’attendrai sur un quai ce train,
Qui m’emmènera vers le cimetière
Où se dirigeaient toutes mes prières.
* suite de : « je t’imagine »
Il ne reste pas toujours que des pleurs,
Passer le choc, se tissent dans ma tête
Les fils d’une vie devenue désuète.
Au travers d’un regard dans le miroir
Sournoises rides prennent le pouvoir,
Tandis qu’à l’opposé je vois ton image
Dans le temps, se statufier sans dommage.
D’un parfum renait souvent le passé
L’ivresse d’un flacon un peu cassé,
Je ne sais plus que penser, mon cher tendre
Je consacre tous mes jours à t’attendre.
Où sont passés nos ardents rendez-vous ?
Devrais-je maintenant te dire vous ?
Au bal des amours infirmes, je pense
Tu me retiendras la dernière danse.
Puis un jour la valise dans la main
Enfin, j’attendrai sur un quai ce train,
Qui m’emmènera vers le cimetière
Où se dirigeaient toutes mes prières.
* suite de : « je t’imagine »