Tu as dans le regard quelque chose d’ailleurs,
Dans certains de tes mots, une sorte de fureur,
Tu as des moments tristes et puis si gais aussi,
Et de tout ce que tu fais, à force je le traduis.
Tu as dans tes paroles, tout un monde magique,
Des paysages immenses, quelque chose d’unique,
Tu as parfois des rêves que tu racontes le matin,
D’étranges histoires lointaines, de géants et de nains.
Tu as dans le regard, quelque chose d’unique,
Des histoires lointaines, tristes et si gaies aussi,
Tu as dans certains rêves, quelque chose de magique,
Et parfois le matin, dans tes paroles je le traduis.
Tu as des moments où tu as tant de fureur,
Où tu sembles te battre contre géants et nains,
Dans tout ce que tu fais je ne vois que bonheur,
J’aimerais juste pouvoir te prendre la main.
Il y a longtemps de cela, j’avais lu un roman,
Avec une belle princesse et un prince charmant,
Un beau conte pour enfants, avec un cheval blanc,
C’est vrai qu’il a grandi, le prince à mal aux dents.
Le cheval a grossi et n’est plus vraiment blanc,
Mais la princesse est toujours la plus belle,
Même sans son innocence de jouvencelle,
Et je la vois, si jolie, autour de nains, de géants.
Que je vais relire je crois, de belles histoires,
Que l’on raconte aux enfants, tous les soirs,
Qu’ils écoutent assidûment, pour s’endormir,
Et rêver de prince, de princesse… souvenir.