Tsunami Sentimental...
Du fond de l’Abysse !
Je m'abandonne au vide qui prend possession totale de tout mon être
sans retour possible, je ne suis, désormais, plus maître
Les souvenirs abondent et vagabondent en criant gare
Ne laissant, de leur passage, que débris de mémoire.
Je connais ce trou béant, j'ai cru plus facile à deux de combattre ce mal-être
Un soir nous nous sommes tendues la main, ouverts nos fenêtres
Laissant voltiger notre imaginaire entre peines et brouillard
Puis de chauds mots pour se réconforter et autre désir bizarre
La foudre a frappé fort, le chaos n'a rien épargné.
Le roc parait solide encore mais tient ne sait comment.
J'ai le cœur en morceaux comme, par l'amour, piétiné.
Je n'ai plus d'espoir aucun mais il y a Dieu et enfants.
Je ne voulait vraiment pas te frustrer et encore moins te blesser
Nous avions établies les règles de notre petit passe-temps
Je t'avais mis en garde de mon manque de sentiments
Pour les autres derrières un écran, je croyais que tu l'avais acceptée
On m'a parlé d'une lumière au bout de ce tunnel.
Ce tunnel sombre, froid, angoissant que l'on nomme "Vie".
Plus j'avance dans celui-ci, moins la lumière est belle.
Plus tu t'éloignes de moi...de moins à pire je vis.
Je connais ces sombres et tristes catacombes démentielles
Mais aujourd'hui c'est mon monde et la lumière "moi" je fuis
Nous y sommes déjà certainement trop perdues ma belle et moi cruel
Si tu continues de marcher à mes cotés, pas loin est le noir puits
J’appréhende l'éclaircie, le soleil après la pluie
Le calme après l'orage, un rien qui change la vie
Car ça ne dure qu'un temps, tout comme un bel arc-en-ciel
Chassé par de nouveaux nuages encore plus cruels.
Je n'ai plus cette notion du temps qui passe aujourd'hui
Un grand soleil ne me réchauffe en rien, je préfère mes temps gris
Là ou tous ce cachent sous capuche et parapluie, fuyants le triste ciel
Je suis certainement encore un gris nuage passé au dessus de tes ailes
MISSMOT.
Leo
Du fond de l’Abysse !
Je m'abandonne au vide qui prend possession totale de tout mon être
sans retour possible, je ne suis, désormais, plus maître
Les souvenirs abondent et vagabondent en criant gare
Ne laissant, de leur passage, que débris de mémoire.
Je connais ce trou béant, j'ai cru plus facile à deux de combattre ce mal-être
Un soir nous nous sommes tendues la main, ouverts nos fenêtres
Laissant voltiger notre imaginaire entre peines et brouillard
Puis de chauds mots pour se réconforter et autre désir bizarre
La foudre a frappé fort, le chaos n'a rien épargné.
Le roc parait solide encore mais tient ne sait comment.
J'ai le cœur en morceaux comme, par l'amour, piétiné.
Je n'ai plus d'espoir aucun mais il y a Dieu et enfants.
Je ne voulait vraiment pas te frustrer et encore moins te blesser
Nous avions établies les règles de notre petit passe-temps
Je t'avais mis en garde de mon manque de sentiments
Pour les autres derrières un écran, je croyais que tu l'avais acceptée
On m'a parlé d'une lumière au bout de ce tunnel.
Ce tunnel sombre, froid, angoissant que l'on nomme "Vie".
Plus j'avance dans celui-ci, moins la lumière est belle.
Plus tu t'éloignes de moi...de moins à pire je vis.
Je connais ces sombres et tristes catacombes démentielles
Mais aujourd'hui c'est mon monde et la lumière "moi" je fuis
Nous y sommes déjà certainement trop perdues ma belle et moi cruel
Si tu continues de marcher à mes cotés, pas loin est le noir puits
J’appréhende l'éclaircie, le soleil après la pluie
Le calme après l'orage, un rien qui change la vie
Car ça ne dure qu'un temps, tout comme un bel arc-en-ciel
Chassé par de nouveaux nuages encore plus cruels.
Je n'ai plus cette notion du temps qui passe aujourd'hui
Un grand soleil ne me réchauffe en rien, je préfère mes temps gris
Là ou tous ce cachent sous capuche et parapluie, fuyants le triste ciel
Je suis certainement encore un gris nuage passé au dessus de tes ailes
MISSMOT.
Leo
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