Trouvères, Troubadours, Ménestrels
Le thème n'est pris que dans le sens de vivre et libre
Amour, Amitiés.
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Qui que vous soyez poètes Troupe de Trouvères de la langue d’oïl
Du Moyen Âge, auteurs de chansons
De gestes de fabliaux
Ou
Poètes du midi de la France vous qui écriviez des poèmes lyriques
Genre troubadour caractérisé
Par le goût romanesque
Des choses du
Moyen-âge !
Mais encore
Ménestrel Poète et musicien vous, qui alliez chanter des vers
De château en château ! celui ménestrier
Qui joue du violon pour faire danser
Les villageois
Avec l’art du ménestrel
Et votre voix
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Vous devriez revenir pour panser les cœurs leurs plaies
Et de toutes les douleurs pour que chante l’air en clé
D’Amour absorbant les pleurs !
Vous devriez revenir pour contenter une larme,
Ne serait-ce qu’un instant où le linceul en alarme
S’arrête sur champ de fleurs, tout en beau bouquet son cœur
S’épanche sur le berceau, saveurs de tous les parfums !
Pourrais-je vous dire encore
Vous devriez, unis, rechanter les airs du temps
Celui qui se joue sans cesse sous le mystère de tous vents !
Qu’il soit du nord ou du sud qu’importe il se doit levain
Pour restituer son corps !
Et dès que le jour se lève
La vie doit vivre ses fruits grâce à ses parfaits refrains
Et refaçonner l’amour un instant de riches grains,
C’est l’ultime bel espoir que frôle une âme le soir
Quand un regain d’autrefois passe son meilleur bonsoir
Nous amène dans son rêve !
Rêve n’est pas qu’alité il ne songe que Lumières
Lorsque la flamme s’éteint,
Pour qu’au prochain vrai matin, les yeux revoient sans un tain
Un bel éclair transcender chaque regard sans bannière* !
Polymnie2, ce 20 février 2021
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rediffusion du 22 Juillet 2016.
Prose en vers heptasyllabes mis en poème de 14 syllabes
Bannière = dans le sens de difficile à obtenir.