De tous ces gens qui pleurent,
Qui pleurent de rire aussi,
Et puis il y a la peur,
Le courage, quand s’enfuit,
Le sable dans la main,
En croyant que le verre,
Se casse comme le fer,
Et le fort se fait vain,
Devant si peu d’envie,
Avec les insomnies,
Et passer les fureurs,
Sans même un rédempteur,
Ni hasard, ni destin,
Volonté ou misère,
C’est le ciel ou la terre,
Le futur c’est certain.
Dans ce jardin du cœur,
J’étais le jardinier,
Toi qui en est ma fleur,
Vas tu tout ignorer ?
(saleté d'adolescence)
Qui pleurent de rire aussi,
Et puis il y a la peur,
Le courage, quand s’enfuit,
Le sable dans la main,
En croyant que le verre,
Se casse comme le fer,
Et le fort se fait vain,
Devant si peu d’envie,
Avec les insomnies,
Et passer les fureurs,
Sans même un rédempteur,
Ni hasard, ni destin,
Volonté ou misère,
C’est le ciel ou la terre,
Le futur c’est certain.
Dans ce jardin du cœur,
J’étais le jardinier,
Toi qui en est ma fleur,
Vas tu tout ignorer ?
(saleté d'adolescence)
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