Pour changer mes quelques idées noires
De ma maison, je regarde par la fenêtre
En face de moi, ma voisine est a vingt mètres
Triste spectacle que je ne voudrais plus voir
Car depuis deux semaines tous les jours
Toutes les heures du matin au soir
Il est assise sur ses marches, son perchoir
Son allure loin d’être glamour
Avec son cul en forme de lessiveuse
Son survêtement plein de taches
Elle me fait penser a une vache
Avec ses pies a faire fonctionner une trailleuse
Emmitouflée sous sa capuche
Une tasse de café dans sa main gauche
Elle sort son paquet de clopes de sa poche
Cigarettes sur cigarettes elle fume cette cruche
Tout en pianotant sur son téléphone
En humant l’air de la campagne
Oubliant chez elle ceux qui l’accompagne
Elle doit être a l’aise sur son trône
Pourtant dehors c’est un temps de glace
Et pour se dérouiller sa cour elle l’arpente
En cherchant dans la rue, une cliente
Comme un lion en cage, elle s’agace
Mais ses recherches actuellement sont vaines
Sur personne elle ne peut tailler un costume
Car elle adore baver sur les us et coutumes
Triste vision pour moi depuis deux semaines
Vite s’il vous plait Messieurs levez l’alerte
Pour que je ne sois plus planté devant ma baie vitrée
Il faut que je sorte je n’en peux plus je vais déprimé
Devant ce tableau devant cette vue qui m’est offerte
De ma maison, je regarde par la fenêtre
En face de moi, ma voisine est a vingt mètres
Triste spectacle que je ne voudrais plus voir
Car depuis deux semaines tous les jours
Toutes les heures du matin au soir
Il est assise sur ses marches, son perchoir
Son allure loin d’être glamour
Avec son cul en forme de lessiveuse
Son survêtement plein de taches
Elle me fait penser a une vache
Avec ses pies a faire fonctionner une trailleuse
Emmitouflée sous sa capuche
Une tasse de café dans sa main gauche
Elle sort son paquet de clopes de sa poche
Cigarettes sur cigarettes elle fume cette cruche
Tout en pianotant sur son téléphone
En humant l’air de la campagne
Oubliant chez elle ceux qui l’accompagne
Elle doit être a l’aise sur son trône
Pourtant dehors c’est un temps de glace
Et pour se dérouiller sa cour elle l’arpente
En cherchant dans la rue, une cliente
Comme un lion en cage, elle s’agace
Mais ses recherches actuellement sont vaines
Sur personne elle ne peut tailler un costume
Car elle adore baver sur les us et coutumes
Triste vision pour moi depuis deux semaines
Vite s’il vous plait Messieurs levez l’alerte
Pour que je ne sois plus planté devant ma baie vitrée
Il faut que je sorte je n’en peux plus je vais déprimé
Devant ce tableau devant cette vue qui m’est offerte