Tout en Révérence
C’est l’Infini printemps témoin d'un bel été
Epanouissement batifolant dehors,
Sur la campagne offrant fin arpège chanté
Ambiance de bonheur serine en clé de sol !
C’est le refrain dès l’aube en mesure d’alerte
Respirant sur la tête et parle fort à l'Âme
Tel un doux angélus frissonnant l’herbe verte
Remuant toute terre y trouver le sésame !
Lors quand la bise souffle un baiser matinal,
Risette sur ma joue auréole l’éther
Enferme dans fossette un revers idéal
Qui replisse ma ride au moindre courant d’air
Le chant du rossignol demande belle aumône
Et reçoit mon regard attendri de soleil
Celui berçant son chant celui qui, tendre, donne,
Sur un fil acoustique l’ariette son vermeil !
Tous les oiseaux du ciel entonnent sous tous noms
Une harmonie habile et douce en fleurs bouquet
Où l’ode sur pétale au bruissement se fond
En symphonie d’accueil réceptacle sacré
En long regard je vois, cet éveil animé
Tremblant toute prairie ! En savez-vous la cause
Qui meurt et ressuscite en renouveau parfait ?
C’est toute perfection du bon vouloir, sa chose !
Vive l’été, la vie, sa couche sur prairie
Son oreiller l’Amour où seul fleurit bagué
Cet impossible inné, en nous gît pousse et crie
Vive le printemps et que l’été soit gai !
Vive le silencieux dans le profond des yeux
Polymnie2, le 15 avril 2016
C’est l’Infini printemps témoin d'un bel été
Epanouissement batifolant dehors,
Sur la campagne offrant fin arpège chanté
Ambiance de bonheur serine en clé de sol !
C’est le refrain dès l’aube en mesure d’alerte
Respirant sur la tête et parle fort à l'Âme
Tel un doux angélus frissonnant l’herbe verte
Remuant toute terre y trouver le sésame !
Lors quand la bise souffle un baiser matinal,
Risette sur ma joue auréole l’éther
Enferme dans fossette un revers idéal
Qui replisse ma ride au moindre courant d’air
Le chant du rossignol demande belle aumône
Et reçoit mon regard attendri de soleil
Celui berçant son chant celui qui, tendre, donne,
Sur un fil acoustique l’ariette son vermeil !
Tous les oiseaux du ciel entonnent sous tous noms
Une harmonie habile et douce en fleurs bouquet
Où l’ode sur pétale au bruissement se fond
En symphonie d’accueil réceptacle sacré
En long regard je vois, cet éveil animé
Tremblant toute prairie ! En savez-vous la cause
Qui meurt et ressuscite en renouveau parfait ?
C’est toute perfection du bon vouloir, sa chose !
Vive l’été, la vie, sa couche sur prairie
Son oreiller l’Amour où seul fleurit bagué
Cet impossible inné, en nous gît pousse et crie
Vive le printemps et que l’été soit gai !
Vive le silencieux dans le profond des yeux
Polymnie2, le 15 avril 2016
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