Tout contre toi
À la fontaine de ton âme en sève,
J'adorerais jaillir dans tes pensées
Jusqu’à éclabousser tes lointains rêves,
Refleurir sur les ombres du passé.
Sur la soie de ton cœur, fébrilement,
J’aimerais déposer mes émotions
Renaître au berceau de mes sentiments
Émue au chant de nos palpitations.
Sur ton corps en éveil, loin d’être sage,
Je voudrais te brûler à mes désirs
M’agripper à tes hanches sans outrage
Épuiser nos envies en doux soupirs.
Puis blottie dans tes bras à ta tiédeur,
J’espérerais surprendre ton sourire
Au bonheur de toutes ces nuits sans heure
Et à ton souffle serein m’assoupir.
Mais tout contre toi mon bel inconnu,
J’attends le fil tissant notre avenir.
L’aiguille du temps court…Quand viendras-tu?
Ne laisse pas mon cœur ainsi languir!
Ne laisse pas mon cœur transi, mourir!
À la fontaine de ton âme en sève,
J'adorerais jaillir dans tes pensées
Jusqu’à éclabousser tes lointains rêves,
Refleurir sur les ombres du passé.
Sur la soie de ton cœur, fébrilement,
J’aimerais déposer mes émotions
Renaître au berceau de mes sentiments
Émue au chant de nos palpitations.
Sur ton corps en éveil, loin d’être sage,
Je voudrais te brûler à mes désirs
M’agripper à tes hanches sans outrage
Épuiser nos envies en doux soupirs.
Puis blottie dans tes bras à ta tiédeur,
J’espérerais surprendre ton sourire
Au bonheur de toutes ces nuits sans heure
Et à ton souffle serein m’assoupir.
Mais tout contre toi mon bel inconnu,
J’attends le fil tissant notre avenir.
L’aiguille du temps court…Quand viendras-tu?
Ne laisse pas mon cœur ainsi languir!
Ne laisse pas mon cœur transi, mourir!
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