J'aime cet homme qui me regarde si souvent,
Il caresse mon visage comme le souffle du vent,
J'entends battre son coeur,
Ses yeux s'émerveilles de bonheur...
Il se transforme en enfant,
Pourquoi celà se passe t-il seulement en me voyant ?
De tes mains tendues vers moi,
Tu espères juste me prendre contre toi...
Allonger sur l'herbe humide,
Tu me parles de mon regard timide,
Je reste cet ange que tu crois,
Mais peut-être qu'un jour tu l'oublieras...
Tu te rapproches de mes hanches,
Doucement tu te penches,
Pour embrasser le creux de mon cou qui tu le sais, ne t'appartiens pas...
Tu chuchottes des mots que j'aime,
Peut-être n'aurais-je pas due les entendre ?
Et pourtant au fond de moi, je les garde juste là...
Aujourd'hui j'ai failli te perdre, et j'ai perdu mes ailes...
Pardonne mes paroles qui ont pu te charmé,
Pardonne la nature de ces fossettes qu'elle m'a donnée,
Je tiens à toi, je t'aime d'une amitié qui n'existe pas...
Mais s'il te plait efface cette douce image que tu as de moi...
POUR MON BIBI, qui se reconnaîtra
Il caresse mon visage comme le souffle du vent,
J'entends battre son coeur,
Ses yeux s'émerveilles de bonheur...
Il se transforme en enfant,
Pourquoi celà se passe t-il seulement en me voyant ?
De tes mains tendues vers moi,
Tu espères juste me prendre contre toi...
Allonger sur l'herbe humide,
Tu me parles de mon regard timide,
Je reste cet ange que tu crois,
Mais peut-être qu'un jour tu l'oublieras...
Tu te rapproches de mes hanches,
Doucement tu te penches,
Pour embrasser le creux de mon cou qui tu le sais, ne t'appartiens pas...
Tu chuchottes des mots que j'aime,
Peut-être n'aurais-je pas due les entendre ?
Et pourtant au fond de moi, je les garde juste là...
Aujourd'hui j'ai failli te perdre, et j'ai perdu mes ailes...
Pardonne mes paroles qui ont pu te charmé,
Pardonne la nature de ces fossettes qu'elle m'a donnée,
Je tiens à toi, je t'aime d'une amitié qui n'existe pas...
Mais s'il te plait efface cette douce image que tu as de moi...
POUR MON BIBI, qui se reconnaîtra