Venez dansez avec nous, à l'orée du bois,
Dans nos têtes, le soleil rougeoie,
Mon ami Pierrot chante à en perdre la tête.
Fou amoureux, il donne une fête,
En hommage à sa belle,
Ce soir, il se sent poussé des ailes,
Il en pince pour cette demoiselle,
Qui n'est autre qu'une tourterelle.
Pour célébrer la paix retrouvée,
Même les plus petits se joignirent à eux,
Pour fêter le début de l'été.
De l'aube jusqu'à la tombée de la nuit,
Fatigués et heureux, tout autour de la terre,
Dans une joyeuse farandole sous la pluie,
Ils dansèrent main dans la main.
A quelques pas de la clairière,
Ce fût le dernier bal du millénaire,
Entendant du bruit,
Les oisillons s'envolèrent à tire-d'aile,
Pour apporter la bonne nouvelle,
Aux pays des mille et une nuit.
Dans nos têtes, le soleil rougeoie,
Mon ami Pierrot chante à en perdre la tête.
Fou amoureux, il donne une fête,
En hommage à sa belle,
Ce soir, il se sent poussé des ailes,
Il en pince pour cette demoiselle,
Qui n'est autre qu'une tourterelle.
Pour célébrer la paix retrouvée,
Même les plus petits se joignirent à eux,
Pour fêter le début de l'été.
De l'aube jusqu'à la tombée de la nuit,
Fatigués et heureux, tout autour de la terre,
Dans une joyeuse farandole sous la pluie,
Ils dansèrent main dans la main.
A quelques pas de la clairière,
Ce fût le dernier bal du millénaire,
Entendant du bruit,
Les oisillons s'envolèrent à tire-d'aile,
Pour apporter la bonne nouvelle,
Aux pays des mille et une nuit.
