Trop petite pour mes détails, mon manège est deux fois plus grand sur original!
tourne.......tourne.....
Tours en Tours
Le bonheur est comparé au manège comme le manège à la vie.
Dans la douceur de ses envolées, il peut perdurer des tours et des
tours comme il ne peut durer qu’un tour!
Après les chevaux de bois, d’autres manèges prennent le relais!
Dans la vitesse de leurs grandes embardées couronnées de bonheur
les risques avec l’angoisse, la peur, les cris, l’incertitude!
Dans la douceur de ses envolées, il peut perdurer des tours et des
tours comme il ne peut durer qu’un tour!
Après les chevaux de bois, d’autres manèges prennent le relais!
Dans la vitesse de leurs grandes embardées couronnées de bonheur
les risques avec l’angoisse, la peur, les cris, l’incertitude!
Tout s’arrête – l’être avance en somnambule!
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Bonheur, Toi beau manège,
Attire, enflamme cajoleur
Fait de feux de couleurs.
En douceur noir s’allège
Veilleur en trame parfois.
Sur carrosses et chevaux de bois
Frémit, sourit le paradis.
Les tours avancent doucement,
Magnifique le mouvement
Chante manège l’aria de jadis!
Quand subitement se précipite son allure,
Craintive l’émotion se crie que l’écho mesure!
C’est alors dans l’âme le chaos et la tumulte!
Pâle devient le féérique! Tout chavire, tout culbute
Dans les cercles infernaux disparaît le jeu des feux,
Le voile de l’infini éteint le regard des yeux
Emporté quoiqu’il arrive dans les rêves-songeries.
Musique cascade ses notes, elle égrène l’allégorie,
Freine la course du manège
Rondeau s’arrête.
Silence en tête!
Reprend sa ritournelle
Tout en douceur émerge
Un seul ton, un virtuel
Le pastel couleur prunelle!
Attire, enflamme cajoleur
Fait de feux de couleurs.
En douceur noir s’allège
Veilleur en trame parfois.
Sur carrosses et chevaux de bois
Frémit, sourit le paradis.
Les tours avancent doucement,
Magnifique le mouvement
Chante manège l’aria de jadis!
Quand subitement se précipite son allure,
Craintive l’émotion se crie que l’écho mesure!
C’est alors dans l’âme le chaos et la tumulte!
Pâle devient le féérique! Tout chavire, tout culbute
Dans les cercles infernaux disparaît le jeu des feux,
Le voile de l’infini éteint le regard des yeux
Emporté quoiqu’il arrive dans les rêves-songeries.
Musique cascade ses notes, elle égrène l’allégorie,
Freine la course du manège
Rondeau s’arrête.
Silence en tête!
Reprend sa ritournelle
Tout en douceur émerge
Un seul ton, un virtuel
Le pastel couleur prunelle!
Polymnie, ce 11 janvier 2018
Ecrit en 2000
Pièces jointes
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